L’eau triste, certains soirs, demande qu’on la plaigne
À cause de la Lune y mirant sa pâleur...
Les roseaux sont, autour, des glaives de douleur,
Des glaives de douleur dans la Lune qui saigne ;
Car la Lune est le Cœur, le Sacré-Cœur de l’Eau,
Emmaillotant sa plaie aux linges du halo.
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(Tоuriste)
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