Le lendemain du premier jour de mai, Dedans mon lit ainsi que je dormaie, Au point du jour m’avint que je songeai Que devant moi une fleur je voyaie, Qui me disait : Ami, je me soulaie En toi fier, car piéça mon parti [...]
Ne heurtez plus à l’huis de ma pensée, Soin et Souci, sans tant vous traveiller, Car elle dort, et ne veut s’éveiller ; Toute la nuit en peine a dépensée.