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De Curare- sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
La dame du lac

Près des eaux endormies la muse assise lit
Les Judas d’Orviétan puis 1 feu d’artifice
En éclat automnal s’accorde 1...

De Cochonfucius sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Passer outre
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C’est le Pont de Âmes  Pensives,
Au fond d’un quartier délaissé ;
Ici, le flot n’est pas pressé,
Pas plus que...

De Cochonfucius sur «Quand du sort inhumain les tenailles flambantes...» (Aubigné)
Navigation pifométrique
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Ici vogue une nef errante,
Sans le moindre discernement ;
Nous avançons obstinément,,
La chose...

De Cochonfucius sur Le bien vient en dormant (Grécourt)
Papillon dormeur
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Je dors  en rêvant de l’été,
Mon corps ne sent plus la froidure ;
Le temps ainsi peut s’arrêter,
Pour...

De Cochonfucius sur Au vent (Urfé)
Petite brise
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Ça souffle; mais modérément,
Le bateau gîte, mais à peine ;
Ce vent doucement nous entraîne
Au travers des...

De Cochonfucius sur En hiver (Verhaeren)
Étoile faible
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Je produis fort peu de lumière,
Des éclats jaunes, verts  et blancs ;
Mes rayons ne sont pas brûlants,
Car la...

De Cochonfucius sur «Celle qui tient l’aile de mon désir...» (Du Bellay)
Tenir la chandelle
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Au pays des Mille Désirs,
La flamme jamais ne se lasse ;
Il faut la porter avec grâce,
Au service du...

De Cochonfucius sur «Voyant ces monts de vue ainsi lointaine...» (Saint-Gelais)
Cloche lointaine
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Je sonne et tu m’entends à peine,
Trop absorbé  par tes loisirs;
Tu n’as  certes pas le désir
D’entendre ...

De Cochonfucius sur Le Val harmonieux (Herold)
Lièvre fugitif
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Je m’en vais, j’ai peur de la lune,
Au diable ses photons d’argent ;
J’en suis réduit, c’est affligeant,
À...

De Cochonfucius sur Sur l’oraison, l’agonie, et la sueur de sang de Jésus-Christ (Selve)
Abondance de biens
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Trésors au pied des palissades,
Richesse obtenue sans douleur ;
La corne éloigne le malheur
Et,...

De Cochonfucius sur L’Automne (Scudéry)
Saison des fruits
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Que de richesses dans l’automne,
Trésor des climats tempérés ;
Les fruits que la saison nous...

De Cochonfucius sur Sonnet : «Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre...» (Mallarmé)
Trèfle en inframonde
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Ici s’étend un jardin sombre,
On y voit de noirs écureuils;
Tous les insectes sont en...

De Cochonfucius sur «Songeant la nuit, bien souvent je pense être...» (Scalion de Virbluneau)
Dans la nuit be sinople
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Je suis le plus discret des êtres,
Je sais m’effacer pleinement ;
Très peu me savent...

De Cochonfucius sur Mazurka (Nelligan)
Escuiruel fringant
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Je suis l’animal singulier
Qui séduit, et grimpe, et dévore ;
D’une dryade qui m’adore
Je suis le démon...

De Cochonfucius sur «Si la loi des amours saintement nous assemble...» (Desportes)
Assemblage
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Blocs minéraux qu’un homme assemble,
D’autres en seront inspirés ;
Ce montage est fait pour durer,
Un sens...

De Cochonfucius sur Le Vaisseau-piano (Cros)
Vaisseau magique
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Je parcours l’espace rebelle,
Autant dans les airs que sur l’eau ;
Je suis le plus vaillant vaisseau,,
La...

De Cochonfucius sur Sonnet d’automne (Richepin)
Porte vers l’automne
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Tu dois me franchir chaque année,
C’est ainsi, tu n’y coupes pas ;
Les astres marchent d’un bon...

De GOUUAUX sur «J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu...» (Desbordes-Valmore)
Elégie  "j’étais à toi..." je me reconnais en ce doux poème, mon cœur bat la chamade à chacune de mes lectures ; je ne m’en lasse pas,...

De Jadis sur Le Chat (Rollinat)

Foutu chat
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Votre Honneur, c’est le chat qui frappa Baudelaire
À coups de tisonnier, à travers le larynx ;
Moi, je...

De Cochonfucius sur «Je sais bien qu’on dira que je suis téméraire...» (Birague)
Sagesse du dauphin
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Jamais je ne fus téméraire,
Toujours j’ai su me limiter ;
Je n’ai cure de m’agiter,
Même quand le sort...

De Cochonfucius sur «Puisse en dépit du Ciel et du grand Jupiter...» (Nuysement)
Roi des lézards
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Je suis roi, je  l’ai mérité,
Car né sous une bonne lune ;
Mon art me tient lieu de fortune,
Lequel ne peut...

De Cochonfucius sur «De soins mordants et de soucis divers...» (Ronsard)
Tour du plumitif
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Ici sont des papiers divers,
Avec des phrases embrouillées ;
Ici, ma cervelle rouillée
Marmonne en son...

De Cochonfucius sur Nature parisienne (Galoy)
Monstre hésitant
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J’ignore ma propre nature,
Venant du ciel, sortant des eaux ?
Ai-je une cervelle d’oiseau ?
Je me disperse...

De Cochonfucius sur Prière du voyageur (Drelincourt)
Véhicule ancien
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Je me souviens de cent voyages,
Dont certains dans d’étranges lieux ;
Mon conducteur, devenu vieux,
N’ira...

De Rozès sur Répétition (Vaucaire)
Pour tous mes amis comédiens !...

De Cochonfucius sur «Vos célestes beautés, Dame, rendez aux cieux...» (Magny)
Princesse errante
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Je suis mon chemin sous les cieux,
L’air est serein,la route est belle ;
Au lointain vole une...

De Cochonfucius sur Destinée (Gautier)
Oiseau fataliste
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Je ne sais comment va le monde,
Trop de phénomènes divers ;
Je laisse aller cet univers
Selon ses humeurs...

De Jadis sur Les Angéliques (Nelligan)

Les alcooliques
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Atteint fâcheusement d’un mal congénital,
L’auteur va divaguant parmi les lauriers-roses
Ou...

De Cochonfucius sur Les Angéliques (Nelligan)
Oiseau serein
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Je vieillis dans mon lieu natal,
Moi, friand de vers et de prose ;
Je n’ai pas lieu d’être morose
Ni même...

De Cochonfucius sur «Le Marinier qui plus agité n’erre...» (La Gessée)
Ermitage ambulant
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Au hasard de la route j’erre,
Le but sera ce qu’il sera ;
Les besoins, Dieu y pourvoira,
Ça ne nous...

De Cochonfucius sur «D’un sommeil plus tranquille à mes Amours rêvant...» (Viau)
Poisson tranquille
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Je flotte, je nage en rêvant,
Inattentif à mes pensées ;
Qu’elles soient folles ou sensées,
Peu nous...

De Cochonfucius sur «Lettre, de mon ardeur véritable interprète...» (Ronsard)
Insecte savant
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Ce que je vois, je l’interprète,
Que ce soit forme, éclat,  couleur ;
Je sais la joie et la douleur
Et les...

De Cochonfucius sur La Chapelle abandonnée (Fort)
Chapelle grise
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La chapelle auprès de la mare
Est, semble-t-il, à l’abandon ;
Même les jours de Grand Pardon,
La solitude...

De Cochonfucius sur «Tout le parfait dont le ciel nous honore...» (Du Bellay)
Monstre volant
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De ma présence un ciel s’honore,
Devenant le plus beau des cieux.
Ça fait du plaisir pour  les yeux
Même...

De Cochonfucius sur Sonnet romantique (Richepin)
Licorne romantique
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J’aimais le cygne de Léda,
Je lui ai même offert des roses
J’aime les typhons qui arrosent
Le...

De Xi’an sur Sonnet : «Non, quand bien même une amère souffrance...» (Musset)
Tu vis coincé dans ta cilice,
Tu meurs en buvant ton calice
Et le rimeur de La Palice
Te souffle : Et qu’a fait la police...

De Rozès sur Esclavage (Thaly)
Ce grand poète est méconnu est c’est bien dommage. Il était médecin d’une famille béké, C’est peut-être ce qui nuit à son œuvre....

De Jadis sur Épitaphe d’un chien (Malleville)

Épisode moyen
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Comme je m’esclaffais à gorge d’employé,
Je sus promptement que je m’étais fourvoyé
       Car...

De Curare- sur Le Lait des chats (Guérin)
http://www.florilege.free.fr/juke-box/montrer.php?item=lait-des-chats

Ouah ! Merci Christian...

De Jadis sur Le Lait des chats (Guérin)

Mollets d’geishas
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Les jeunes filles causent, causent
En se caressant les mollets
Et font tinter les...

De Jadis sur «Ah ! Seigneur, Dieu des cœurs robustes, répondez !...» (Guérin)

Seigneur Jésus Marie et Joseph, regardez
Ces méchants galopins et ces dévergondés,
Ces moutards malveillants peuplant le...

De Jadis sur Spleen : «Je suis comme le roi...» (Baudelaire)

Si l’on me décrit comme un vieillard envieux,
On exagère, car je ne suis pas si vieux :
Je frise ma moustache et soigne mon...

De Jadis sur «Amis, un dernier mot ! — et je ferme à jamais...» (Hugo)

Un dernier mot, dit-il. Tu parles ! Plût au Ciel
Que ce pesant bavard s’en tînt à l’essentiel !        
Mais non, c’est reparti, et le...

De Jadis sur Sonnet : «Je sais faire des vers perpétuels. Les hommes...» (Cros)

C’est possible, pourtant ce poème m’assomme :
Peu de chance d’atteindre à la postérité.
Je le relis, maussade et d’un œil irrité ;
Il...

De Jadis sur «Où donc est le bonheur ?...» (Hugo)

Redoutant quelque peu de vous importuner,
Oserai-je, Victor, ajouter : Poil au nez ?...

De Jadis sur Le Voleur (Rollinat)

Le Vaucluse
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Accoudé sur un pont de L’Isle-sur-la-Sorgue
(Mais Vaison-la-Romaine eut l’honneur des infos)
Je lisais...

De Jadis sur Parole de Socrate (La Fontaine)

       Mot d’aristocrate
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       Je ne peux pas le garantir,
       Mais je crois que, sous les...

De Jadis sur Les Conquérants (Heredia)

Comme un pauvre glandu, dans le trafic brutal,
J’avais fait le détour, Sacré Cœur, rue d’Athènes,
Pour débarquer enfin à la...

De Jadis sur Méditation grisâtre (Laforgue)

Reddition sans combattre
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Faudra-t-il toujours fuir, tel Pompée à Pharsale,
Oublier nos exploits sur la terre et sur...

De Jadis sur «M’introduire dans ton histoire...» (Mallarmé)

Au temps béni des colonies
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Je l’ai trouvé jubilatoire,
Cet aphorisme retouché :
« Pour vivre heureux, vivons...

De Curare- sur À un sot abbé de qualité (Saint-Pavin)
Je garde ton titre :

Papillon nostalgique

Fût elle heureuse mon enfance
Mon asthme était trop encombrant
Pourtant et c’était...

De Jadis sur Charmes du passé (Rodenbach)

Morosités du futur
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Le temps presse le pas, demain, c’est tout à l’heure,
Il ne convient ici d’afficher nul...

De Jadis sur «Vos rigueurs me pressaient d’une douleur si forte...» (Viau)

Il est l’heure à présent, ma damoiselle accorte,
De glaner sur le sol vos légers vêtements :
Voici belle lurette,...

De Tristan Bernard sur Les Conquérants (Heredia)
Comme un troupeau docile au Maître Capital,
Du palais de Bourbon, proche la Madeleine,
Ceusses de la Montagne et ceusses de la...

De Jadis sur Le Tabac (Desforges-Maillard)

... t’abat.
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Infâme discoureur à l’âme pécheresse,
          Ô rimailleur blasphémateur,
Que viens-tu nous chanter les...

De La Musérante sur Sonnet de Porcelaine (Vivien)
Je suis un peu perdue
Aussi éperdument . .
Et de liens en lianes
Tout ces malentendus . .

je t’aurais dis ’je t’aime jusqu’aux...

De Dame de flamme sur «Du triste cœur voudrais la flamme éteindre...» (Saint-Gelais)
Mes héritiers sont dans la peine,
Ils râleront, ça leur ressemble ;
Les gens s’en moquent, dans l’ensemble.

Mon âme aussi est dans la...

De Curare- sur «C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore...» (Du Bellay)

Pas de pot de vin sur ce paradis pour la splendeur qu’on y aura passé ..

’au seul nom de la poésie’

Du désespoir je nais je n’ai...

De Curare- sur La Petite Rue silencieuse (Fort)
Peut-être que ’AB’ ça veut dire abbé . .
Toi Webmaster tu es Christian
Bah ..
On avance en âge
On apprécie ces liens étroits à nous...

De Curare- sur «Tu es seule mon cœur, mon sang et ma Déesse...» (Ronsard)
’Dame de Sagesse’ = DS...

De Webmaster sur La Petite Rue silencieuse (Fort)
C’était des petits pois de pays !...

De Dame de flamme sur La Petite Rue silencieuse (Fort)
Les petits pais sont écossés.
Les petits pais sont si corsés

bizarre la langue française .. ...

De ab sur La Petite Rue silencieuse (Fort)
pois


(merci pour ce joli site)...

De Curare- sur «Toi qui troubles la paix des nonchalantes eaux...» (Bernard)
Il aurait pu te dire le chat gpt que tu t’es plantée :

’’Si dure l’infinitude’’  

Va faire une sieste !...

De Dame de flamme sur «Toi qui troubles la paix des nonchalantes eaux...» (Bernard)
Ecrire 1 poème par jour
Est-ce dès lors sans désamour
Si dure l’infinitude
Aussi lasse ma solitude --

Je demande à l’IA la suite ....

De Curare- sur «Toi qui troubles la paix des nonchalantes eaux...» (Bernard)
’’J’adorerais t’entendre rire aux éclats ’’ Curare le  21/01/2010

Ambicorbeau sans ailes

Femelle du corbeau noir vif est son...

De Jadis sur À l’envers (Segalen)

Précision
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Mes rimes, je l’ai découvert,
N’ont vraiment rien de grandiose ;
Elles valent bien peu de chose,
Je suis...

De Xi’an sur Mirliton (Corbière)
Un cubi de rosée
ça vous régale une cigale
le temps d’un #haiku...

De Jadis sur La Chèvre (Rollinat)

Hommage à Boby

Madam’ Mado c’est ma voisine,
Son mec, c’est mon cousin germain ;
Je lui bichonne un baise-main
Comme on voit dans...

De Xi’an sur «Aimez-vous l’odeur vieille...» (Milosz)
Et c’est aussi le retour des acariens,
Retour qui se fait en undécasyllables.
Ça change des alexandrins, c’est pas rien,
Mais on...

De Dame de flamme sur Verlaine

1 lien sympa :

https://www.comptoirlitteraire.com/


...

De Curare- sur Sur l’Hélène de Gustave Moreau (Laforgue)

__Imparfaite__

Ce n’est rien d’1 cœur n’avoir
Sondé à l’aube nuancée
D’en finir avec ma pensée
Noire de néant sans espoir-

Je...

De Dame de flamme sur Oiseaux de passage (Richepin)

Pardonne moi Xi’аn Webmaster
Je m’ennuie je n’assemble plus les mots
alors je joue avec l’ia
Mais l’ia
s’en fout aussi
la...

De Curare- sur «Il n’est rien de si beau comme Caliste est belle...» (Malherbe)
Ces 2 💕 cœurs  jamais
Ne pourraient battre en réel
Au même tempo__

Mais c’est l’IA qui fait des siennes . . ...

De Curare- sur «Il n’est rien de si beau comme Caliste est belle...» (Malherbe)
Ces 2 💕 cœurs  jamais
Ne pourraient battre au réel
Au même tempo__...

De Jadis sur «Le Soleil l’autre jour se mit entre nous deux...» (Ronsard)

Nous étions bien au chaud, sans parler, tous les deux ;
Allais-je l’aborder par devant, par derrière ?
La brise caressait le toit de la...

De Jadis sur «Qu’est-ce de votre vie ? une bouteille molle...» (Chassignet)
À ma miss

Je me sens tout flapi, ma conscience est molle,
Tandis que je barbote au fond d’un abreuvoir
Où l’on m’a suggéré d’aller me...

De Dame de flamme sur À son lecteur : «Le voilà cet auteur qui sait pincer et rire...» (Dubos)

Et moi
je sais  
pourquoi
il aime
aussi
le Marsupilami-...

De Xi’an sur «Qu’est-ce de votre vie ? une bouteille molle...» (Chassignet)
    Caisse de notre vie,
    Misérable mallette,
    Toute en bois de palette
Pour complaire à l’écologie.

    Pas très...

De Dame de flamme sur «Hélas ! voici le jour que mon maître on enterre...» (Ronsard)
Il fut prince autrefois, cueillant la marguerite,
Osant plus d’une rime et plus d’un madrigal ;
Ces écrits, me dit-on, dans un coffre il...

De Jadis sur «J’adore la banlieue avec ses champs en friche...» (Coppée)

Un dizain de François à réécrire, chiche !
On va bien s’amuser, j’en ris dans ma barbiche.
Or donc sur ce chemin bordé de...

De Curare- sur «Épouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis...» (Desportes)
Trinité

Ma Guerrière où es-tu ce jour mon triste leurre ?
Ce vide indéfini que tu laisses où je suis
Blême devant l’écran je bois...

De Xi’an sur Jehan Rictus
--- Soliloque ---

        (Sir Hun jacte :)

Christ jaune,
Christ aviné,
Christ n’a vie
Ni eau, Christ...
(Évian, Christ...

De Xi’an sur «Épouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis...» (Desportes)
Les ruisseaux ruissellent,
les oiseaux roucoulent :
bientôt c’est le
printemps, cool !...

De 孔八戒主席 sur Sonnet du huit février 1915 (Apollinaire)
毛主席萬歲 !

 .   毛主席萬歲 !

 .                            ...

De Анна Ахматова sur «J’errais en mon jardin, quand au bout d’une allée...» (Ronsard)
1917

Проводила друга до...

De Сосhоnfuсius sur «Ô cœur triste et pensif, qui en si dur martyre...» (Birague)
Nef de l’Ambibouddha
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Laissant derrière lui l’humanité martyre,
Le grand Ambibouddha, dont limpide est le...