Alger, ville d’amour, où tant de nuits passées
M’ont fait voir le henné de tes roses talons,
Tu nourrissais pour moi, d’une vierge aux doigts longs,
L’orgueil, et l’esclavage, et les fureurs glacées.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)