J’entends parfois une voix quiète d’absente
Dire de petits mots
Qui font que j’aimerai chaque douleur présente
Et tout l’espoir des prochains maux
Mots finissant en el comme le nom des anges
Ô puérilités
Le ciel que l’on médite et le miel que l’on mange
Fraîcheur du miel ô ciel d’été
Commentaire (s)
Déposé par Cochonfucius le 27 septembre 2014 à 11h42
Loin des muses
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Forêt dont toute muse est aujourd’hui absente,
J’aime tes chers oiseaux et leurs aimables mots ;
On croirait éprouver l’émotion qu’ils ressentent,
Même si l’on ne sait la source de leurs maux.
Merci de me parler, oiseaux pareils aux anges,
Avec tant de candeur et de civilité :
Merci de m’écouter, forêt où rien ne change,
Forêt aux noirs chemins, merci de m’abriter.