Tu n’as jamais été, dans tes jours les plus rares,
Qu’un banal instrument sous mon archet vainqueur,
Et, comme un air qui sonne au bois creux des guitares,
J’ai fait chanter mon rêve au vide de son cœur.
Chacune a ses défauts & chacun a sa tare !
Moi, je verse à longs traits, pour noyer ma rancœur :
Les propos venimeux tout enduits de curare,
La vilipendaison & le verbe moqueur.
Déposé par Esprit de celle le 3 février 2019 à 21h21
Je ne sais pas qui tu es à t’amuser ainsi depuis quelques jours mais quelques simples souvenirs te remettront peut-être les idées en place -
Chasse ta rancœur,
Ta poésie hideuse,
Tu paraîtras moins con !
Même si c’est trop tard !
Pourquoi ’Cochonfucius’
Un jour, il y a longtemps,
j’étais quasi-simultanément
en train de déchiffrer les leçons de ?? Confucius
et une aventure burlesque de ???
Zhu Bajie, un cochon bouddhiste.
Mon très jeune fils est entré dans le bureau,
et en voyant les couvertures des deux livres,
a fait ce mot-valise:
« Tu es encore avec ton cochon-fucius ».
Voilà, c’est tout simple.
Rédigé par : Cochonfucius | le 08 février 2010 |