Quelle est cette beauté que je vois tant extrême,
Qui avec ses cheveux, et sa voix et ses yeux,
D’un lien et d’un charme et d’un trait amoureux,
Et s’enchaîne et s’enchante, et s’aveugle soi-même ?
C’est le Monde changé en courtisane infâme,
Qui se va déguisant de mille fards le corps.
Mais c’est une beauté seulement du dehors
Qui ne peut effacer les laideurs de son âme.
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