Tes yeux sont deux grands lacs pleins d’ombre
Étoilés d’ors capricieux.
J’aime noyer en ces beaux yeux
Tous mes soucis ; ma fièvre y sombre
Calmant, aux flots silencieux
De leur nuit scintillante et sombre,
Son désir infini des cieux.
Tes yeux sont deux grands lacs pleins d’ombre.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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