Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante
S’éteignit tout à coup dans un mot commencé ;
Quand ses yeux, soulevant leur paupière brûlante,
Me blessèrent d’un mal dont je le crus blessé ;
Quand ses traits plus touchants, éclairés d’une flamme
Qui ne s’éteint jamais,
S’imprimèrent vivants dans le fond de mon âme ;
Il n’aimait pas, j’aimais !
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)