Aimables habitants de ce naissant feuillage,
Qui semble fait exprès pour cacher nos amours ;
Rossignols, dont le doux ramage
Aux douceurs du sommeil m’arrache tous les jours
Que votre chant est tendre !
Est-il quelques ennuis qu’il ne puisse charmer ?
Mais hélas ! n’est-il point dangereux de l’entendre
Quand on ne veut plus rien aimer ?
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Mon florilège
(Tоuriste)
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