Rien, rien ne peut égaler mon ennui,
J’aime depuis longtemps un berger qui m’adore,
Et de ma tendresse aujourd’hui
Ce charmant berger doute encore,
Hélas ! peut-il douter que mon cœur soit à lui,
Quand malgré tous mes soins personne ne l’ignore.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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