Je vous aime, Phylis ; si vous m’aimiez de même,
J’aurais, amant aimé, tout lieu d’être content ;
Si vous ne m’aimiez pas, le mal serait extrême.
J’ose, belle Phylis, vous défier pourtant
De me haïr jamais autant que je vous aime.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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