Tes lèvres ont perdu leurs roses,
Et ton corps est déjà cassé :
Il te faut mettre au rang des choses
Qui furent au siècle passé.
Jeanne, ton éloquence est forte,
Mais non pas tant qu’elle me porte
À plaire à ta lubricité ;
Mon engin, que ta main caresse,
N’a pas assez de charité
Pour être un bâton de vieillesse.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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