Quand je serai tout prêt d’avoir les yeux couverts
De l’ombre et de l’horreur d’une nuit éternelle,
Plût aux Dieux devant moi voir périr l’Univers !
Que ma mort me semblerait belle !
J’aurais, en expirant, un plaisir sans pareil ;
Et, comme en me couchant je souffle ma chandelle,
Je voudrais en mourant éteindre le Soleil.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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