Du Bellay

(1522-1560)

Recueils (ou ensembles) complets

1558 : Les Antiquités de Rome

1558 : Les Regrets

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Il ne faut point, Duthier, pour mettre en évidence...

Quand mon Caraciol de leur prison desserre...

Je ne te conterai de Bologne et Venise...

Ici de mille fards la traïson se déguise...

On donne les degrés au savant écolier...

Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die...

Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil...

Cependant que la Cour mes ouvrages lisait...

Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur...

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage...

C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore...

Celui vraiment était et sage et bien appris...

Le roi (disent ici ces bannis de Florence)...

Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde...

Vu le soin ménager dont travaillé je suis...

Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l’entends...

Encore que l’on eût heureusement compris...

Tu ne crains la fureur de ma plume animée...

Ce brave qui se croit, pour un jaque de maille...

Comme jadis l’âme de l’univers...

On ne fait de tout bois l’image de Mercure...

Si la vertu, qui est de nature immortelle...

Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur...

Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye...

Ce n’est pas de mon gré, Carle, que ma navire...

Je les ai vus, Bizet, et si bien m’en souvient...

Quand je vois ces messieurs, desquels l’autorité...

Tout le parfait dont le ciel nous honore...

À Vénus

Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour...

Qui est ami du cœur est ami de la bourse...

Si tu veux sûrement en Cour te maintenir...

Thiard, qui as changé en plus grave écriture...

Cent fois plus qu’à louer on se plaît à médire...

Baiser : Quand ton col de couleur de rose...

Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure et le point...

Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde...

Un plus savant que moi, Paschal, ira songer...

D’où vient que nous voyons à Rome si souvent...

Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois...

Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux...

Sage De L’Hospital, qui seul de notre France...

Pourquoi me grondes-tu, vieux mâtin affamé...

Tu t’abuses, Belleau, si pour être savant...

Cependant qu’au palais de procès tu devises...

Ronsard, j’ai vu l’orgueil des colosses antiques...

Que n’ai-je encor la harpe Thracienne...

Après avoir longtemps erré sur le rivage...

Sire, celui qui est a formé toute essence...

D’où vient cela, Mauny, que tant plus on s’efforce...

Songe

Nature à votre naître heureusement féconde...

Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché...

Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré...

Ni la fureur de la flamme enragée...

Au Roi

C’était ores, c’était qu’à moi je devais vivre...

Le Babylonien ses hauts murs vantera...

Il fait bon voir, Magny, ces couillons magnifiques...

Flatter un créditeur, pour son terme allonger...

J’ai entassé moi-même tout le bois...

Villanelle : En ce mois délicieux...

Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre...

Qui choisira pour moi la racine d’Ulysse ?...

Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur...

Divins esprits, dont la poudreuse cendre...

La terre y est fertile, amples les édifices...

Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur...

Astres cruels, et vous dieux inhumains...

Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse...

Ô que celui était cautement sage...

Je hais plus que la mort un jeune casanier...

Ne t’émerveille point que chacun il méprise...

Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire...

Montigné (car tu es aux procès usité)...

Mauny, prenons en gré la mauvaise fortune...

Un peu de mer tenait le grand Dulichien...

Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre...

Si notre vie est moins qu’une journée...

À Salmon Macrin, sur la mort de sa Gélonis

De ce royal palais que bâtiront mes doigts...

Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c’est Rome ?...

Comme le marinier, que le cruel orage...

Morel, dont le savoir sur tout autre je prise...

Si Pirithois ne fût aux enfers descendu...

Avoir vu dévaler une triple montagne...

Quand je vais par la rue, où tant de peuple abonde...

La fortune, Prélat, nous voulant faire voir...

Maudit soit mille fois le Borgne de Libye...

Je n’ai jamais pensé que cette voûte ronde...

Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps ?...

Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour...

Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis...

Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre...

Qui voudrait figurer la Romaine grandeur...

Où que je tourne l’œil, soit vers le Capitole...

Gordes, j’ai en horreur un vieillard vicieux...

Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue...

Épitaphe d’un petit chien

Cependant, Pelletier, que dessus ton Euclide...

De voir mignon du Roi un courtisan honnête...

Ne lira-l’on jamais que ce Dieu rigoureux ?...

Ces Cheveux d’or sont les Liens Madame...

Je hais du Florentin l’usurière avarice...

Voyez, amants, comment ce petit Dieu...

Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Éson...

En cependant, Clagny, que de mille arguments...

Comme le champ semé en verdure foisonne...

Cousin, parle toujours des vices en commun...

De grand beauté ma Déesse est si pleine...

Je ne veux point fouiller au sein de la nature...

Combien que ton Magny ait la plume si bonne...

Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome...

Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature...

Buchanan, qui d’un vers aux plus vieux comparable...

Celle qui de son chef les étoiles passait...

Qui niera, Gillebert, s’il ne veut résister...

Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos...

Cependant que Magny suit son grand Avanson...

Ces cheveux d’or, ce front de marbre, et celle...

Celui qui d’amitié a violé la loi...

Quand je vois ces seigneurs qui l’épée et la lance...

Je ne suis pas de ceux qui robent la louange...

Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine...

Contre les envieux

Baïf, qui, comme moi, prouves l’adversité...

Je ne découvre ici les mystères sacrés...

En ce mois délicieux...

Vineus, je ne vis onc si plaisante province...

Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien...

Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses...

De votre Dianet (de votre nom j’appelle...

Ce n’est l’ambition, ni le soin d’acquérir...

Qui a nombré, quand l’astre, qui plus luit...

De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne...

N’étant, comme je suis, encore exercité...

Seigneur, ne pensez pas d’ouïr chanter ici...

N’étant de mes ennuis la fortune assouvie...

J’aime la liberté, et languis en service...

Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles...

Paschal, je ne veux point Jupiter assommer...

Non autrement que la Prêtresse folle...

De l’inconstance des choses

Ô trois et quatre fois malheureuse la terre...

Ce rusé Calabrais tout vice, quel qu’il soit...

Je vois, Dilliers, je vois seréner la tempête...

Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage...

Je me ferai savant en la philosophie...

Tout ce qu’Égypte en pointe façonna...

Bizet, j’aimerais mieux faire un bœuf d’un fourmi...

La grecque poésie orgueilleuse se vante...

Ô qu’heureux est celui qui peut passer son âge...

Le Breton est savant et sait fort bien écrire...

Devaulx, la mer reçoit tous les fleuves du monde...

Si tu veux vivre en Cour, Dilliers, souvienne-toi...

Quand la fureur, qui bat les grands coupeaux...

Douce mère d’amour, gaillarde Cyprienne...

Ne t’ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme...

Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse...

Ami, je t’apprendrai (encore que tu sois...

Déjà la nuit en son parc amassait...

La nef qui longuement a voyagé, Dillier...

Souvent nous faisons tort nous-même’ à notre ouvrage...

Chant du Désespéré

Toi qui de Rome émerveillé contemples...

Tant que l’oiseau de Jupiter vola...

Scève, je me trouvai comme le fils d’Anchise...

Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois...

Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement...

Espérez-vous que la postérité...

Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors !...

Gordes, je saurais bien faire un conte à la table...

Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici...

Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil...

Ne te fâche, Ronsard, si tu vois par la France...

Autant comme l’on peut en un autre langage...

Je n’écris point d’amour, n’étant point amoureux...

Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin...

Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée...

Voyant l’ambition, l’envie et l’avarice...

Des vents émus la rage impétueuse...

Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront...

De quelque autre sujet que j’écrive, Jodelle...

Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux...

Voici le carnaval, menons chacun la sienne...

Vous qui aux bois, aux fleuves, aux campaignes...

Quel est celui qui veut faire croire de soi...

Quand d’une douce ardeur doucement agité...

Ô Prison douce, où captif je demeure...

Sacrés coteaux, et vous saintes ruines...

Ô Déesse, qui peux aux princes égaler...

Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los...

Je ne te prie pas de lire mes écrits...

Brusquet à son retour vous racontera, Sire...

Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit...

Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme...

Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs...

Maintenant je pardonne à la douce fureur...

Muse, qui autrefois chantas la verte Olive...

Par ses vers téïens Belleau me fait aimer...

La Complainte du Désespéré

Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles...

Sortons, Dilliers, sortons, faisons place à l’envie...

Ô faible esprit, chargé de tant de peines...

Pâles Esprits, et vous Ombres poudreuses...

En mille crêpillons les cheveux se friser...

Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre...

Las, où est maintenant ce mépris de fortune ?...

Esprit royal, qui prends de lumière éternelle...

Si après quarante ans de fidèle service...

Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché...

Marcher d’un grave pas et d’un grave sourcil...

Si onques de pitié ton âme fut atteinte...

Comme on passe en été le torrent sans danger...

Épitaphe d’un chat

France, mère des arts, des armes et des lois...

Telle que dans son char la Bérécynthienne...

Nature est aux bâtards volontiers favorable...

Non pour ce qu’un grand roi ait été votre père...

À Monsieur d’Avanson

Celle qui tient l’aile de mon désir...

Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson...

Ne pense, Robertet, que cette Rome-ci...

Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie...

Ursin, quand j’oi nommer de ces vieux noms romains...

Si l’importunité d’un créditeur me fâche...

Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !...

Ores, plus que jamais, me plaît d’aimer la Muse...

La nuit m’est courte...

Quand cette belle fleur premièrement je vi...

Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines...

Une froideur secrètement brûlante...

Quand ton col de couleur de rose...

Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse...

Gordes, il m’est avis que je suis éveillé...

Après s’être bâti sur les murs de Carthage...

Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici...

Cependant que tu dis ta Cassandre divine...

Entre tous les honneurs dont en France est connu...

Combien que ta vertu, Poulin, soit entendue...

Ce ne sont pas ces beaux cheveux dorés...

Tu dis que Du Bellay tient réputation...

Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire...

Bien qu’aux arts d’Apollon le vulgaire n’aspire...

Dessous ce grand François, dont le bel astre luit...

Se fâcher tout le jour d’une fâcheuse chasse...

Si celui qui s’apprête à faire un long voyage...

Celui qui de plus près atteint la déité...

Si les larmes servaient de remède au malheur...

À Cérès

Nous ne sommes fâchés que la trêve se fasse...

La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire...

Je ne commis jamais fraude ni maléfice...

Si par peine et sueur et par fidélité...

Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère...

Cependant que tu suis le lièvre par la plaine...

À son livre

Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné...

Vous dites, courtisans : les poètes sont fous...

 


Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée
Une montagne d’eau d’un grand branle ondoyant,
Puis traînant mille flots, d’un gros choc aboyant
Se crever contre un roc, où le vent l’a poussée :
 
[...]

[lire le poème...]


Pâles Esprits, et vous Ombres poudreuses,
Qui jouissant de la clarté du jour
Fîtes sortir cet orgueilleux séjour,
Dont nous voyons les reliques cendreuses :
 
Dites, Esprits (ainsi les ténébreuses
[...]

[lire le poème...]


Vous qui aux bois, aux fleuves, aux campaignes,
À cri, à cor, et à course hâtive
Suivez des cerfs la trace fugitive
Avec Diane, et les Nymphes compaignes :
 
Et toi ô Dieu ! qui mon rivage baignes,
[...]

[lire le poème...]


Sacrés coteaux, et vous saintes ruines,
Qui le seul nom de Rome retenez,
Vieux monuments, qui encor soutenez
L’honneur poudreux de tant d’âmes divines :
 
Arcs triomphaux, pointes du ciel voisines,
[...]

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Votre commentaire :
Nom : *
eMail : * *
Site Web :
Commentaire * :
pèRE des miséRablEs : *
* Information requise.   * Cette adresse ne sera pas publiée.
 


Mon florilège

(Tоuriste)

(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)

Compte lecteur

Se connecter

Créer un compte

Agora

Évаluations récеntes
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

Rоnsаrd : Dе l’Élесtiоn dе sоn Sépulсrе

Βаudеlаirе : Lеs Ρlаintеs d’un Ιсаrе

Βаnvillе : À Αdоlphе Gаïffе

Du Ρеrrоn : «Αu bоrd tristеmеnt dоuх dеs еаuх...»

Βlаisе Сеndrаrs

Rоnsаrd : Dе l’Élесtiоn dе sоn Sépulсrе

Νuуsеmеnt : «Lе vаutоur аffаmé qui du viеil Ρrоméthéе...»

Lа Сеppèdе : «Сеpеndаnt lе sоlеil fоurnissаnt sа јоurnéе...»

Τоulеt : «Dаns lе silеnсiеuх аutоmnе...»

Μussеt : À Αlf. Τ. : «Qu’il еst dоuх d’êtrе аu mоndе, еt quеl biеn quе lа viе !...»

Vеrlаinе : «Lа mеr еst plus bеllе...»

Jасоb : Lе Dépаrt

☆ ☆ ☆ ☆

Lаfоrguе : Lе Sаnglоt univеrsеl

Сrоs : Ρituitе

Jаmmеs : Lа sаllе à mаngеr

Régniеr : Lа Lunе јаunе

Rоdеnbасh : «Αllеluiа ! Сlосhеs dе Ρâquеs !...»

Lаfоrguе : Соmplаintе d’un аutrе dimаnсhе

Vеrlаinе : Lе Dеrniеr Dizаin

Cоmmеntaires récеnts

De Сосhоnfuсius sur L’Αbrеuvоir (Αutrаn)

De Сосhоnfuсius sur Lе Grаnd Αrbrе (Μérаt)

De Сосhоnfuсius sur «Jе vоudrаis êtrе аinsi соmmе un Ρеnthéе...» (Gоdаrd)

De Dаmе dе flаmmе sur Vеrlаinе

De Сurаrе- sur Sur l’Hélènе dе Gustаvе Μоrеаu (Lаfоrguе)

De Dаmе dе flаmmе sur Οisеаuх dе pаssаgе (Riсhеpin)

De Сurаrе- sur «Ιl n’еst riеn dе si bеаu соmmе Саlistе еst bеllе...» (Μаlhеrbе)

De Xi’аn sur Lе Gigоt (Ρоnсhоn)

De Jаdis sur «Lе Sоlеil l’аutrе јоur sе mit еntrе nоus dеuх...» (Rоnsаrd)

De Jаdis sur «Qu’еst-се dе vоtrе viе ? unе bоutеillе mоllе...» (Сhаssignеt)

De Dаmе dе flаmmе sur À sоn lесtеur : «Lе vоilà сеt аutеur qui sаit pinсеr еt rirе...» (Dubоs)

De Yеаts sur Ρаul-Jеаn Τоulеt

De Ιо Kаnааn sur «Μаîtrеssе, quаnd је pеnsе аuх trаvеrsеs d’Αmоur...» (Rоnsаrd)

De Rоzès sur Μédесins (Siсаud)

De Dаmе dе flаmmе sur «Hélаs ! vоiсi lе јоur quе mоn mаîtrе оn еntеrrе...» (Rоnsаrd)

De Jаdis sur «J’аdоrе lа bаnliеuе аvес sеs сhаmps еn friсhе...» (Соppéе)

De Rоzès sur Lе Сhеmin dе sаblе (Siсаud)

De Sеzоr sur «Jе vоudrаis biеn êtrе vеnt quеlquеfоis...» (Durаnt dе lа Βеrgеriе)

De KUΝG Lоuisе sur Villе dе Frаnсе (Régniеr)

De Xi’аn sur Jеhаn Riсtus

De Xi’аn sur «Épоuvаntаblе Νuit, qui tеs сhеvеuх nоirсis...» (Dеspоrtеs)

Plus de commentaires...

Flux RSS...

Ce site

Présеntаtion

Acсuеil

À prоpos

Cоntact

Signaler une errеur

Un pеtit mоt ?

Sоutien

Fаirе un dоn

Librairiе pоétique en lignе

 



Photo d'après : Hans Stieglitz