Aloysius Bertrand(1807-1841) Recueil complet1842 : Gaspard de la nuit (posthume) Tous ses poèmes disponiblesPoèmes par ordre alphabétiqueA B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
L’Air magique de Jehan de Vitteaux L’Alerte
Le bel Alcade Le Bibliophile
La Cellule Le Cheval mort
Les Deux Anges Les Deux Juifs
Le Falot Les Flamands Le Fou
Le Gibet Les Gueux de nuits
Les Lépreux
Le Maçon Les Muletiers
Le Nain
Oh ! que de fois je l’ai entendu et vu...
La Pluie
Que tu meures absous ou damné...
Le Raffiné Les Reîtres
La Salamandre Scarbo : Oh ! que de fois je l’ai entendu et vu... Scarbo : Que tu meures absous ou damné... La Sérénade Sonnet : À la Reine des Français...
![]() |
![]()
Rien encore ! — Et vainement ai-je feuilleté pendant trois jours et trois nuits, aux blafardes lueurs de la lampe, les livres hermétiques de Raymond Lulle.
Non, rien, si ce n’est, avec le sifflement de la cornue étincelante, les rires moqueurs d’un salamandre qui se fait un jeu de troubler mes méditations. [...]
Qui n’aime, aux jours de la canicule dans les bois, lorsque les geais criards se disputent la ramée et l’ombre, un lit de mousse et la feuille à l’envers du chêne ?
*
Les deux larrons bâillèrent, demandant l’heure au bohémien qui les poussait du pied comme des pourceaux. [...]
La Posada[1], un paon sur son toit, allumait ses vitres à l’incendie lointain du soleil couchant, et le sentier serpentait lumineux dans la montagne.
*
« Chut ! n’avez-vous rien entendu, vous autres ? demanda un des guérillas, collant son oreille à la fente du volet. [...]
Non, Dieu, éclair qui flamboie dans le triangle symbolique, n’est point le chiffre tracé sur les lèvres de la sagesse humaine !
Non, l’amour, sentiment naïf et chaste qui se voile de pudeur et de fierté au sanctuaire du cœur, n’est point cette tendresse cavalière qui répand les larmes de la coquetterie par les yeux du masque de l’innocence ! [...] |
Mon florilège(Tоuriste) (Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.) Compte lecteurAgoraÉvаluations récеntes☆ ☆ ☆ ☆ ☆Rоussеаu : Lе Rоssignоl еt lа Grеnоuillе Ρérin : Αubе Αpоllinаirе : Lе Drоmаdаirе Соignаrd : «Οbsсurе nuit, lаissе tоn nоir mаntеаu...» Lаfоrguе : Βоufféе dе printеmps Τоulеt : «Si vivrе еst un dеvоir...» Ρéguу : Ρrésеntаtiоn dе lа Βеаuсе à Νоtrе-Dаmе dе Сhаrtrеs ☆ ☆ ☆ ☆Rоussеаu : Lе Rоssignоl еt lа Grеnоuillе Vеrlаinе : L’Αubеrgе Vеrlаinе : À Hоrаtiо Соrnеillе : Sоnnеt : «Dеuх sоnnеts pаrtаgеnt lа villе...» Fоurеst : Sаrdinеs à l’huilе Sullу Ρrudhоmmе : Lеs Сhаînеs Ρоnсhоn : Lе Gigоt Cоmmеntaires récеntsDe Сосhоnfuсius sur «Un сlаirvоуаnt fаuсоn еn vоlаnt pаr rivièrе...» (Αubigné) De Сосhоnfuсius sur «Αfin qu’à tоut јаmаis dе sièсlе еn sièсlе vivе...» (Rоnsаrd) De Сосhоnfuсius sur Ρоlуphèmе еn furiе (Τristаn L'Hеrmitе) De Ιоhаnnеs sur Ρrièrе dе соnfidеnсе (Ρéguу) De Сurаrе- sur Lеs Fеuillеs mоrtеs (Gоurmоnt) De Lilith sur Vеrlаinе De Μоntеrrоsо sur Lа Μоuсhе (Αpоllinаirе) De Jаdis sur Саrоlо Quintо impеrаntе (Hеrеdiа) De Сurаrе- sur Sоnnеt : «Un livrе n’аurаit pаs suffi...» (Ρrivаt d'Αnglеmоnt) De Τrуphоn Τоurnеsоl sur À unе mуstériеusе (Rоllinаt) De Сurаrе- sur L’Αngе (Lоuÿs) De Αlbаtrосе sur «Dоuсе plаgе оù nаquit mоn âmе...» (Τоulеt) De Gеf sur À Μ. Α. Τ. : «Αinsi, mоn сhеr аmi, vоus аllеz dоnс pаrtir !...» (Μussеt) De Gеf sur Villеs : «Се sоnt dеs villеs !...» (Rimbаud) De Jаdis sur Τаblеаu (Сrоs) De Βibоsаurе sur À Αlf. Τ. : «Qu’il еst dоuх d’êtrе аu mоndе, еt quеl biеn quе lа viе !...» (Μussеt) De Βоurg sur «Lоngtеmps si ј’аi dеmеuré sеul...» (Τоulеt) De Jаdis sur Épigrаmmе d’аmоur sur sоn nоm (Αubеspinе) De Ιsis Μusе sur Lа grоssе dаmе сhаntе... (Ρеllеrin) De Dаmе dе flаmmе sur Сhаnsоn dе lа mélаnсоliе (Fоrt) Plus de commentaires...Ce sitePrésеntаtionCоntactSоutien |