François Coppée(1842-1908) Recueils (ou ensembles) complets1868 : Intimités 1872 : Promenades et Intérieurs Tous ses poèmes disponiblesPoèmes par ordre alphabétiqueA B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Afin de louer mieux vos charmes endormeurs... Les Aïeules Allons, poète, il faut en prendre ton parti !... L’Amazone À mes jeunes camarades, aux équipiers du Club nautique de Chatou Assis, les pieds pendants, sous l’arche du vieux pont... L’Attente Auprès de Saint-Sulpice, un spectacle odieux... Aux ambulancières de la Croix-Rouge
Le Banc
Le Cabaret Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère... Le Chien perdu Comme à cinq ans on est une grande personne... Comme le champ de foire est désert, la baraque... C’est lâche ! J’aurais dû me fâcher... C’est un boudoir meublé dans le goût de l’Empire... C’est vrai, j’aime Paris d’une amitié malsaine...
Dans ces bals qu’en hiver les mères de famille... Le Défilé De la rue on entend sa plaintive chanson... De même que Rousseau jadis fondait en pleurs... Depuis que son garçon est parti pour la guerre...
L’Écho Écrit sur l’Album des Chats d’Henriette Ronner Elle sait que l’attente est un cruel supplice... Elle viendra ce soir ; elle me l’a promis... En plein soleil, le long du chemin de halage... En province, l’été. Le salon Louis Seize... L’Étape
Hier, sur la grand’route où j’ai passé près d’eux...
Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle...
Je ne suis plus l’enfant et tu n’es plus l’espiègle... Je rêve, tant Paris m’est parfois un enfer... Je suis un pâle enfant du vieux Paris... J’adore la banlieue avec ses champs en friche... J’écris ces vers, ainsi qu’on fait des cigarettes... J’écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge...
La plus lente caresse, amie, est la meilleure... Le crépuscule est triste et doux comme un adieu... Lecteur, à toi ces vers, graves historiens... Le Grand-Montrouge est loin, et le dur charretier... Le printemps est charmant dans le jardin des Plantes... Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois... Le soleil froid donnait un ton rose au grésil... Le Liseron L’allée est droite et longue, et sur le ciel d’hiver... L’autre soir, en parlant à cette jeune fille... L’école. Des murs blancs, des gradins noirs, et puis...
Malgré ses soixante ans, le joyeux invalide... La Mémoire
Noces du samedi ! noces où l’on s’amuse... La Nourrice N’est-ce pas ? ce serait un bonheur peu vulgaire... N’êtes-vous pas jaloux en voyant attablés...
Le Passant Le Père Les Perroquets du Jardin des Plantes Près du rail, où souvent passe comme un éclair... Prisonnier d’un bureau, je connais le plaisir...
Quand sont finis le feu d’artifice et la fête... Quelquefois tu me prends les mains et tu les serres... Quelqu’un a-t-il noté le désir hystérique...
La Ruine
Sa chambre bleue est bien celle que je préfère... Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants... La Sœur novice Sonnet dit par l’auteur au 3e banquet de La Plume Sur un trottoir désert du faubourg Saint-Germain...
Tel un chasseur perclus, devant un feu qui flambe... Les Trois Oiseaux
Un rêve de bonheur qui souvent m’accompagne...
Volupté des parfums ! — Oui, toute odeur est fée... |
Commentaire (s)Déposé par Francis Coppaille le 22 janvier 2019 à 15h34Un condensé de l’œuvre poétique de mon cher maître François Coppée que j’aurais trouvé emblématique de sa prolixe Plume, s’il n’eût pas manqué ce suprême délice qu’est le très élégiaque "Ruines du cœur" tiré de son fabuleux recueil intitulé "Arrière-Saison" paru en 1887.
Déposé par Cochonfucius le 22 janvier 2019 à 19h16
Déposé par Jean-Bapt. le 23 janvier 2019 à 14h33Ruines du cœur
Déposé par COUGARE- le 23 janvier 2019 à 14h53Son buste est façonné comme on sculpte au burin
Déposé par Gardeur d’albatros le 24 janvier 2019 à 11h07Merci JB, le poème a été rajouté ! Déposé par Curare- le 1er février 2019 à 10h02Aux abonnés absents : Ô mutisme de fiel
Votre commentaire : |
Mon florilège(Tоuriste) (Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.) Compte lecteurAgoraÉvаluations récеntes☆ ☆ ☆ ☆ ☆Βаudеlаirе : Lе Gоût du Νéаnt Jасоb : Lа Sаltimbаnquе еn wаgоn dе 3е сlаssе Villаrd : «Quаnd lа lаmpе Саrсеl sur lа tаblе s’аllumе...» Sсаrrоn : «À l’оmbrе d’un rосhеr, sur lе bоrd d’un ruissеаu...» Сlаudеl : Βаllаdе Fоurеst : Lеs Ρоissоns mélоmаnеs Lеvеу : Jаpоn — Νаgаsаki Сеndrаrs : Jоurnаl Jасоb : Villоnеllе Βаnvillе : Lа Βеllе Vérоniquе ☆ ☆ ☆ ☆Βаudеlаirе : Lе Gоût du Νéаnt Vеrlаinе : «J’аi dit à l’еsprit vаin, à l’оstеntаtiоn...» Jасоb : Fаblе sаns mоrаlité Sсhwоb : Lе Viеuх dit : Rаmuz : Lеs Quаtrе-Hеurеs Τаstu : «Quе dе sеs blоnds аnnеаuх tоn bеаu frоnt sе dégаgе...» Τhаlу : L’Îlе lоintаinе Éсоuсhаrd-Lеbrun : «Μаîtrеssе, Αmis, fаisаiеnt mоn biеn suprêmе...» Rеnаrd : Lе Суgnе Νеlligаn : Lе Viоlоn brisé Cоmmеntaires récеntsDe Сосhоnfuсius sur «Lе rоу s’еn еst аllé...» (Sсаrrоn) De Jаdis sur «Lе pеtit еmplоуé dе lа pоstе rеstаntе...» (Villаrd) De Сосhоnfuсius sur «Μоn âmе а sоn sесrеt, mа viе а sоn mуstèrе...» (Αrvеrs) De Jаdis sur Lе Gоût du Νéаnt (Βаudеlаirе) De Сосhоnfuсius sur «Lоrsquе lа brunе nuit сhаrgе sа rоbе nоirе...» (Gоulаrt) De Jаdis sur Sur lа mоrt dе sоn fils (Μаlhеrbе) De Xi’аn sur «Μоn âmе pаisiblе étаit pаrеillе аutrеfоis...» (Τоulеt) De Lа Μusеrаntе sur Соntrе Ligurinus : «Τоut lе mоndе tе fuit...» (Dubоs) De Vinсеnt sur «Un sоir, lе lоng dе l’еаu, еllе mаrсhаit pеnsivе...» (Durаnt dе lа Βеrgеriе) De Xi’аn sur Lе Суgnе (Rеnаrd) De Сurаrе- sur «Sаintе Τhérèsе vеut quе lа Ρаuvrеté sоit...» (Vеrlаinе) De Ρоéliсiеr sur «Αmоurs јumеаuх, d’unе flаmmе јumеllе...» (Ρаssеrаt) De Βеn sur «Μаrgоt, еn vоus pеignаnt, је vоus pinсе sаns rirе...» (Sigоgnе) De Lеbrun sur «Jе rêvе, tаnt Ρаris m’еst pаrfоis un еnfеr...» (Соppéе) De Rоzès sur Lе Сinémа (Siсаud) De GΟUUΑUX sur «J’étаis à tоi pеut-êtrе аvаnt dе t’аvоir vu...» (Dеsbоrdеs-Vаlmоrе) De Rоzès sur Répétitiоn (Vаuсаirе) De Xi’аn sur Sоnnеt : «Νоn, quаnd biеn mêmе unе аmèrе sоuffrаnсе...» (Μussеt) De Rоzès sur Εsсlаvаgе (Τhаlу) De Сurаrе- sur Lе Lаit dеs сhаts (Guérin) De Ιо Kаnааn sur Сrоquis (Сrоs) Plus de commentaires...Ce sitePrésеntаtionCоntactSоutien |