Hugo

(1802-1885)

Recueils (ou ensembles) complets

1856 : Les Contemplations (I)

1856 : Les Contemplations (II)

1877 : L'Art d'être grand-père

1880 : L'Âne

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes par ordre alphabétique

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

15 février 1843

1er janvier

 

À Albert Dürer

À Alexandre D.

À André Chénier

À Aug. V.

Abîme

À celle qui est restée en France

À celle qui est voilée

À ceux qui dorment

À ceux qui sont petits

À ceux qu’on foule aux pieds

À des âmes envolées

À des oiseaux envolés

Adieux de l’hôtesse arabe

Admire, enfant ! souvent aux marins de Messine ...

À Eugène Vicomte H.

À Georges

À Granville, en 1836

Ah ! vous voulez la lune...

Aimons toujours ! aimons encore !...

À Jeanne : Je ne te cache pas que j’aime aussi les bêtes...

À Jeanne

À Jules J.

À L...

À la belle impérieuse

À la fenêtre pendant la nuit

À la mère de l’enfant mort

À l’enfant malade pendant le siège

À l’Homme

À l’ombre d’un enfant

À M. Froment Meurice

À Madame D. G. de G.

À Mademoiselle Fanny de P.

À mademoiselle Louise B.

À ma fille Adèle

À ma fille

L’Âme à la poursuite du vrai

Ami, j’ai quitté vos fêtes...

Amis, un dernier mot ! — et je ferme à jamais...

À mon père

Amour

L’Âne Patience entre dans le détail

À Ol.

À Paul M.

À petite Jeanne

Apparition

Après justice faite

Après la bataille

Après l’hiver

Après une lecture de Dante

À propos de Doña Rosa

À propos de la loi dite liberté de l’enseignement

À propos d’Horace

À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ?...

À qui la faute ?

À quoi bon entendre...

À quoi je songe ? — Hélas ! loin du toit où vous êtes...

À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt

À Ramon, duc de Benav

Attente

Au bois

Au bord de la mer

Aucune aile ici-bas...

Au fils d’un poète

Au lion d’Androclès

À une femme

À une jeune femme

À une jeune fille

À un enfant

À un homme partant pour la chasse

À un poète aveugle

À un poète

Au peuple

Au poète qui m’envoie une plume d’aigle

Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève...

Au soleil couchant...

Autre chanson : L’aube naît, et ta porte est close...

Autrefois, j’ai connu Ferdousi dans Mysore...

Autre guitare : Comment, disaient-ils...

L’Autre

Aux anges qui nous voient

Aux arbres

Aux champs

Aux Feuillantines

Aux morts du 4 décembre

Aux proscrits

À Vianden

À Villequier

À Virgile

À vous qui êtes là

 

Baraques de la foire

Bêtise de la guerre

Bièvre

Billet du matin

La Blanche Aminte

Booz endormi

 

Cadaver

La Canadienne suspendant au palmier le corps de son enfant

Canaris

La Captive

Ce que c’est que la mort

Ce que dit la bouche d’ombre

Ce que dit le public

Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813

Ce qu’on entend sur la montagne

Cérigo

Certe, elle n’était pas femme et charmante en vain...

Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte...

Ce siècle est grand et fort...

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent...

Chanson : La femelle ? elle est morte...

Chanson : Proscrit, regarde les roses...

Chanson : Si vous n’avez rien à me dire...

Chanson de Gavroche : La bourgeoisie est un veau...

Chanson de grand-père

La Chanson de Jean Prouvaire

Chanson de Maglia

Chanson de pirates

Chanson des deux barbares

Chanson du Fou : Au soleil couchant...

La Chanson du spectre

Chanson d’ancêtre

Chanson d’aujourd’hui : Je disais Dieu qu’aucun suppliant...

Chanson d’aujourd’hui : La vision de la vie...

Chanson d’autrefois : Jamais elle ne raille...

Chanson d’autrefois : Quelqu’un connaît-il ma cachette ?...

La Chanson d’Hacquoil le marin

Chanson en canot

Chanson pour faire danser en rond les petits enfants

Le Chant de ceux qui s’en vont sur mer

Chant sur le berceau

Charles Vacquerie

Le Chasseur noir

Le Château de l’Arbrelles

Chelles

Choses du soir

Choses écrites à Créteil

Chose vue un jour de printemps

La Chouette

La Cicatrice

Clair de lune

Claire P.

Claire

La Coccinelle

Colère de la bête

Comédie dans les feuilles

Commencement d’une illusion

Comment, disaient-ils...

Conduite de l’homme vis-à-vis de la création

Conduite de l’homme vis-à-vis de la société

Conduite de l’homme vis-à-vis de lui-même

Conduite de l’homme vis-à-vis des enfants

Conduite de l’homme vis-à-vis des génies

La Confiance du Marquis Fabrice

La Conscience

Coup d’œil général

Le Crapaud

Crépuscule

Cri de guerre du mufti

Croire, mais pas en nous

C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux...

C’est dans la rue du Mail...

C’est la nuit ; la nuit noire...

C’est parce qu’elle se taisait

C’est une chose grande...

C’est une émotion étrange...

C’était la première soirée...

 

Danger d’aller dans les bois

Dans ce jardin antique...

Dans la forêt

Dans le cimetière de ***

Dans le jardin

Dans le monde meilleur que rêve mon caprice...

Dans les ruines d’une abbaye

Dans l’air

Dans l’alcôve sombre...

Date lilia

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne...

Dénonciation de l’esprit des bois

Depuis six mille ans la guerre...

Dieu fait les questions...

Dizain de femmes

Les Djinns

Le Doigt de la femme

Dolorosæ

Dolor

Du haut de la muraille de Paris à la nuit tombante

 

Éclaircie

Écoutez. Je suis Jean. J’ai vu des choses sombres...

Écrit après la visite d’un bagne

Écrit au bas d’un crucifix

Écrit en 1827

Écrit en 1846

Écrit en 1855

Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique

Écrit sur la vitre d’une fenêtre flamande

Écrit sur le tombeau d’un petit enfant au bord de la mer

Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia

Églogue

Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin...

Elle était déchaussée, elle était décoiffée...

Elle était pâle, et pourtant rose...

Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri...

Encore Dieu, mais avec des restrictions

Encore l’immaculée conception

En écoutant chanter la Princesse ***

En écoutant les oiseaux

L’Enfance

Enfant, le peuple te regarde...

L’Enfant et la Corde

Les Enfants gâtés

Les Enfants pauvres

L’Enfant

En frappant à une porte

En hiver la terre pleure...

En mai

En marchant la nuit dans un bois

En marchant le matin

En sortant du collège

Enthousiasme

Entre deux bombardements

Entrée dans l’exil

Enveloppe d’une pièce de monnaie dans une quête faite par Jeanne

Envoi des Feuilles d’automne

En voyant un petit enfant

Épilogue — Dans l’ombre

Épitaphe de Jean Valjean

Épitaphes d’enfants

Épitaphe

L’Épopée du lion

Est-il jour ? Est-il nuit ?...

Et Jeanne à Mariette a dit...

Et nox facta est

Éviradnus

L’Exilé satisfait

Exil

L’Expiation

Explication

Extase

 

Fable ou Histoire

Fantômes

La Fée et la Péri

Fenêtres ouvertes

La Fête chez Thérèse

La Fiancée du timbalier

Fiat voluntas

La Figliola

La Fleur et le Papillon

Fonction de l’enfant

Fonction du poète

Les Forts

France ! à l’heure où tu te prosternes...

Fuite en Sologne

Fulgur

Les Fusillés

 

Garde à jamais dans ta mémoire...

Gare !

Gastibelza, l’homme à la carabine...

Georges et Jeanne

La Grand-Mère

Grenade

Les Griffonnages de l’écolier

Guerre civile

Guitare : Gastibelza, l’homme à la carabine...

 

Halte en marchant

Hélas ! tout est sépulcre. On en sort, on y tombe...

Hermina

Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin...

Hier, la nuit d’été...

Hier au soir

Homo duplex

Horror

 

Ibo

L’Idylle du vieillard

Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange...

Il est un peu tard pour faire la belle...

Il était une fois

Il fait froid

Il faut que le poète, épris d’ombre et d’azur...

Il lui disait : Vois-tu, si tous deux nous pouvions...

Il n’avait pas vingt ans...

L’Immaculée Conception

Les Innocents

Insomnie

Insondable, immuable, éternel, absolu...

Intérieur

 

Jamais elle ne raille...

Janvier est revenu...

Jeanne endormie — III

Jeanne endormie — II

Jeanne endormie — IV

Jeanne endormie — I — La Sieste

Jeanne était au pain sec...

Jeanne fait son entrée

Jeanne lapidée

Jeanne songeait, sur l’herbe assise...

Je disais Dieu qu’aucun suppliant...

Je la revois, après vingt ans, l’île...

Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère...

Je ne me mets pas en peine...

Je ne te cache pas que j’aime aussi les bêtes...

Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose...

Je n’ai pas de palais épiscopal en ville...

Je payai le pêcheur qui passa son chemin...

Je prendrai par la main...

Je racontais un conte...

Je respire où tu palpites...

Je sais bien qu’il est d’usage...

Je suis des bois l’hôte fidèle...

Je suis enragé. J’aime et je suis un vieux fou...

Je suis fait d’ombre et de marbre...

Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans...

Jeune fille, l’amour...

Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites...

Joies d’un soir

Jolies femmes

Jour de fête aux environs de Paris

J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline...

J’aime l’araignée et j’aime l’ortie...

J’ai mené parfois dure vie...

J’aime un groupe d’enfants...

J’étais enfant. Le bon abbé de la Rivière...

J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées...

 

La bourgeoisie est un veau...

La clarté du dehors ne distrait pas mon âme...

Laetitia rerum

La face de la bête est terrible ; on y sent...

La femelle ? elle est morte...

La France, ô mes enfants, reine aux tours fleuronnées...

La hache ? Non. Jamais...

Laissez. — Tous ces enfants sont bien là...

La nature est pleine d’amour...

La prisonnière passe, elle est blessée. Elle a...

La source tombait du rocher...

La tombe dit à la rose...

La vision de la vie...

Lazzara

Le comte de Buffon fut bonhomme...

Le couchant flamboyait...

Le firmament est plein de la vaste clarté...

La Légende de la Nonne

Le père vieillissant gît malade en son lit...

Le poème éploré se lamente ; le drame...

Le poète s’en va dans les champs ; il admire...

Le Progrès calme et fort, et toujours innocent...

Les autres en tout sens laissent aller leur vie...

Les bêtes, cela parle ; et Dupont de Nemours...

Les enfants lisent, troupe blonde ;...

Les femmes sont sur la terre...

Les hirondelles sont parties...

Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées...

Les petits sont ma joie en l’exil où nous sommes...

Les quatre enfants joyeux me tirent par la manche...

Les siècles sont au peuple ; eux, ils ont le moment...

Lettre à une femme

Lettre

Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille...

Liberté !

Lise

Lorsque l’enfant paraît...

Lueur au couchant

Luna

Lux, I

L’aube naît, et ta porte est close...

L’aurore s’allume...

L’autre jour, ami cher...

L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée...

L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours...

L’univers, c’est un livre, et des yeux qui le lisent...

 

Les Mages

Magnitudo parvi

Mais tu brûles ! Prends garde, esprit !...

Le Maître d’études

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé...

Les Malheureux

Le Manteau impérial

Mariée et mère

Les Martyres

Mazeppa

Melancholia

Mélancolie

Le Mendiant

La Mère qui défend son petit

Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux...

La Méridienne du lion

Mes adieux à l’enfance

Mes deux filles

Mes vers fuiraient, doux et frêles...

La Mise en liberté

Mon âme est faite ainsi...

Mon bras pressait ta taille frêle...

Mon enfance

Mon petit-fils

Mors

Mugitusque Boum

 

La Nature

La Nichée sous le portail

Nomen, numen, lumen

Non, nul ne peut me prendre...

Non

Nos morts

Nourmahal-la-Rousse

Nous allions au verger cueillir des bigarreaux...

Nouvelle chanson : S’il est un charmant gazon...

Novembre

La Nuit autour de l’Homme

Nuits de juin

Nuit tombante

Nuit

N’envions rien

N’est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente...

 

Oceano nox

Ô Charles, je te sens près de moi. Doux martyr...

Ô Dieu ! si vous avez la France sous vos ailes...

Ô gouffre ! l’âme plonge et rapporte le doute...

Oh ! comme ils sont goulus...

Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre...

Oh ! je fus comme fou dans le premier moment...

Oh ! les charmants oiseaux joyeux...

Oh ! n’insultez jamais une femme qui tombe !...

Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges...

Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée...

Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche...

Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux...

Oh ! reviens ! printemps ! fanfare...

Les Oiseaux

L’Ombre

Ô mes lettres d’amour...

On vit, on parle, on a le ciel et les nuages...

Ô petits, je ne puis que vous voir et pleurer...

Ora, ama

Ô Rus

Ô souvenirs ! printemps ! aurore !...

Ô strophe du poète, autrefois, dans les fleurs...

L’Oubli

Où donc est la clarté ?...

Où donc est le bonheur ?...

Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade...

 

Parfois, je me sens pris d’horreur pour cette terre...

Parfois, lorsque tout dort...

Paroles dans l’ombre

Paroles sur la dune

Le Pas d’armes du roi Jean

Passereaux et rouges-gorges...

Passé

Pasteurs et troupeaux

Les Pauvres Gens

Les Paysans au bord de la mer

Pendant que le marin, qui calcule et qui doute...

La Pente de la rêverie

Pepita

Petit Paul

Pleurs dans la nuit

La Plume de Satan

Le Poète bat aux champs

Le Poète

Ponto

Le Pont

Le Portrait d’un enfant

Le Pot cassé

Pour le livre du grand-père

Pour les pauvres

Pour l’erreur, éclairer, c’est apostasier...

Premier Mai

Près d’Avranches

La Prière pour tous

Printemps : Voici donc les longs jours...

Printemps

Promenades dans les rochers — III

Promenades dans les rochers — II

Promenades dans les rochers — IV

Promenades dans les rochers — I

Proscrit, regarde les roses...

Puisque j’ai mis ma lèvre...

Puisque le juste est dans l’abîme...

Puisque mai tout en fleurs...

Puisque nos heures sont remplies...

Puisqu’ici-bas toute âme...

Pure innocence ! vertu sainte !...

 

Quand la lune apparaît...

Quand le Cid fut entré dans le Généralife...

Quand le livre où s’endort...

Quand les guignes furent mangées...

Quand l’eunuque régnait à côté du césar...

Quand nous habitions tous ensemble...

Que la musique date du seizième siècle

Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande !...

Que les petits liront quand ils seront grands

Quelle est la fin de tout ?...

Quelques mots à un autre

Quelqu’un connaît-il ma cachette ?...

Question sociale

Que t’importe, mon cœur...

Que voulez-vous ? L’enfant...

Quia pulvis es

Quiconque est amoureux...

Qu’est-ce que cette terre ? Une tempête d’âmes...

Qu’était-ce que l’enfant ?...

 

Le Ravin

Réaction de la création sur l’homme

Regardez cet enfant de cinq ans ; la feuillée...

Regardez-les jouer...

Regardez : les enfants se sont assis en rond...

Regard jeté dans une mansarde

Relligio

Rencontre d’une petite fagotière

Rencontre

Réponse à un acte d’accusation

Le Revenant

Rêverie

Rien n’est mort, rien n’est faux, rien n’est noir, rien n’est triste...

Ronde pour les enfants

Rosa fâchée

La Rose de l’Infante

Le Rouet d’Omphale

 

Le Sacre de la Femme

Sagesse

Saison des semailles — Le Soir

Sara la baigneuse

Saturne

Sécurité du penseur

Sentiers où l’herbe se balance...

Si vous n’avez rien à me dire...

Soirée en mer

Soir

Soleils couchants

Sommation irrespectueuse

Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée...

La Sortie

La Source

Sous les arbres

Le Soutien des empires

Souvenir de la nuit du 4

Souvenir d’enfance

Spectacle rassurant

Spes

La Statue

Stella

Suite

La Sultane favorite

Sunt lacrimae rerum

Sur la falaise

Sur une barricade, au milieu des pavés...

Sur un portrait de sainte

Suzette et Suzon

Le Syllabus

S’il est un charmant gazon...

 

Tentanda via est

La Terre

Tous les bas âges sont épars...

Toute la vie d’un cœur

Toutes sortes d’enfants...

Tout homme est pris...

Tout pardonner, c’est trop...

Tristesse du philosophe

Tristesse d’Olympio

Tristesse finale

Trois ans après

La Trompette du Jugement

Les Tronçons du serpent

Le Trouble-fête

Les Tuileries

Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux...

 

Ultima verba

Une alcôve au soleil levant

Une bombe aux Feuillantines

Une femme m’a dit ceci : — J’ai pris la fuite...

Une nuit à Bruxelles

Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir

Une tape

Une terre au flanc maigre, âpre, avare, inclément...

Un grand sabre serait...

Un groupe tout à l’heure...

Un homme aux yeux profonds...

Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble...

Unité

Un jour, le morne esprit, le prophète sublime...

Un jour au mont Atlas les collines...

Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants...

Un manque

Un soir que je regardais le ciel

Un spectre m’attendait dans un grand angle d’ombre...

Un tableau d’Albert Dürer

 

La Vache

Va-t’en, me dit la bise...

Veni, vidi, vixi

Vénus

Vere novo

Vers 1820

Vicomte de Foucault, lorsque vous empoignâtes...

Victor, sed victus

La Vie aux champs

Vieille chanson du jeune temps

Viens ! — une flûte invisible...

La Ville prise

La Vision de Dante

Vision sombre ! un peuple en assassine un autre...

Vivants

Vœu

Voici donc les longs jours...

Voici que la saison décline...

Vois, cette branche est rude...

Voix dans le grenier

Vous êtes bien des fois venus dans ma demeure...

Vous rappelez-vous notre douce vie...

Voyage de nuit

Voyons, d’où vient le verbe ?...

 

Les Yeux Bleus de Jeanne

 
Guitare


 
Gastibelza, l’homme à la carabine,
              Chantait ainsi :
« Quelqu’un a-t-il connu doña Sabine ?
              Quelqu’un d’ici ?
Dansez, chantez, villageois ! la nuit gagne
[...]

[lire le poème...]


 
Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles,
Était digne de toi, tant elle avait d’étoiles !
Tant son calme était frais ! tant son souffle était doux !
Tant elle éteignait bien ses rumeurs apaisées !
Tant elle répandait d’amoureuses rosées
[...]

[lire le poème...]

Fantômes



 
 

I


 
Hélas ! que j’en ai vu mourir de jeunes filles !
C’est le destin. Il faut une proie au trépas.
Il faut que l’herbe tombe au tranchant des faucilles ;
[...]

[lire le poème...]

Passé


 
C’était un grand château du temps de Louis treize.
Le couchant rougissait ce palais oublié.
Chaque fenêtre au loin, transformée en fournaise,
Avait perdu sa forme et n’était plus que braise.
Le toit disparaissait dans les rayons noyé.
[...]

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Déposé par KayBward le 12 février 2014 à 09h35

YOLO BIEN TON BIDE

* Le 15-18 plante son drapeau *

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par monique le 27 mars 2014 à 14h16

C’est quoi c’est ce commentaire?

Hugo est notre plus grand poète hélas! a dit un poète dont personne ne peut citer un seul vers...

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par lancelot le 12 mars 2015 à 12h44

certes en plus d’un bon poète, bon père, bon grand-père, bon patriote, bon croyant en somme: travail, famille, patrie...quant à l’époux...hum hum plutôt volage...

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par cesar le 1er septembre 2015 à 21h20

André Gide n’est pas un illustre inconnu !!! Prix Nobel 1947 quand même ! Certes il est plus connu par ses romans que par ses poèmes mais enfin .....  il devait avoir quelques compétences en la matière
Ps sur ce même site ont peut lire de poèmes de Gide

[Lien vers ce commentaire]

Votre commentaire :
Nom : *
eMail : * *
Site Web :
Commentaire * :
pèRE des miséRablEs : *
* Information requise.   * Cette adresse ne sera pas publiée.
 


Mon florilège

(Tоuriste)

(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)

Compte lecteur

Se connecter

Créer un compte

Agora

Évаluations récеntes
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

Jасоb : Silеnсе dаns lа nаturе

Βоilеаu : Sаtirе VΙΙΙ : «Dе tоus lеs аnimаuх qui s’élèvеnt dаns l’аir...»

Sigоgnе : «Се соrps défiguré, bâti d’оs еt dе nеrfs...»

Du Βеllау : «Соmtе, qui nе fis оnс соmptе dе lа grаndеur...»

Βаudеlаirе : Αu Lесtеur

Сhrеtiеn dе Τrоуеs : «Се fut аu tеmps qu’аrbrеs flеurissеnt...»

Τоulеt : «Dаns lе lit vаstе еt dévаsté...»

Riсtus : Jаsаntе dе lа Viеillе

Riсtus : Lеs Ρеtitеs Βаrаquеs

Dеsbоrdеs-Vаlmоrе : «J’étаis à tоi pеut-êtrе аvаnt dе t’аvоir vu...»

☆ ☆ ☆ ☆

Νоël : Visiоn

Siеfеrt : Vivеrе mеmеntо

Dеshоulièrеs : Sоnnеt burlеsquе sur lа Ρhèdrе dе Rасinе

Τоulеt : «Τоi qui lаissеs pеndrе, rеptilе supеrbе...»

Siсаud : Lа Grоttе dеs Léprеuх

Соppéе : «Сhаmpêtrеs еt lоintаins quаrtiеrs, је vоus préfèrе...»

Саrсо : Lаissеz-mоi

Νоuvеаu : Сru

Τоulеt : «Lе sаblе оù nоs pаs оnt сrié...»

Dеlаruе-Μаrdrus : Εrrеmеnts

Cоmmеntaires récеnts

De Сосhоnfuсius sur «Μаîtrеssе, quаnd је pеnsе аuх trаvеrsеs d’Αmоur...» (Rоnsаrd)

De Сосhоnfuсius sur Lа Lunе оffеnséе (Βаudеlаirе)

De Сосhоnfuсius sur «Се соrps défiguré, bâti d’оs еt dе nеrfs...» (Sigоgnе)

De Rоzès sur Μédесins (Siсаud)

De Dаmе dе flаmmе sur «Hélаs ! vоiсi lе јоur quе mоn mаîtrе оn еntеrrе...» (Rоnsаrd)

De Jаdis sur «J’аdоrе lа bаnliеuе аvес sеs сhаmps еn friсhе...» (Соppéе)

De Rоzès sur Lе Сhеmin dе sаblе (Siсаud)

De Sеzоr sur «Jе vоudrаis biеn êtrе vеnt quеlquеfоis...» (Durаnt dе lа Βеrgеriе)

De KUΝG Lоuisе sur Villе dе Frаnсе (Régniеr)

De Сurаrе- sur «Épоuvаntаblе Νuit, qui tеs сhеvеuх nоirсis...» (Dеspоrtеs)

De Xi’аn sur Jеhаn Riсtus

De Villеrеу јеаn -pаul sur Détrеssе (Dеubеl)

De ΒооmеrаngΒS sur «Βiеnhеurеuх sоit lе јоur, еt lе mоis, еt l’аnnéе...» (Μаgnу)

De Hаikukа sur «Lе Sоlеil l’аutrе јоur sе mit еntrе nоus dеuх...» (Rоnsаrd)

De Gаrdiеn dеs Суmеs sur Сhаnt dе Νоël (Νоël)

De Сurаrе- sur «Lа mоrt а tоut mоn biеn еt mоn еspоir étеint...» (Αubin dе Μоrеllеs)

De Сurаrе- sur Jоurnаlistе piеuх (Fréсhеttе)

De аunrуz sur Rêvеriе (Lаrguiеr)

De Сhristiаn sur Сrépusсulе dе dimаnсhе d’été (Lаfоrguе)

De Τhundеrbird sur Αgnus Dеi (Vеrlаinе)

De Jаdis sur Épiphаniе (Lесоntе dе Lislе)

Plus de commentaires...

Flux RSS...

Ce site

Présеntаtion

Acсuеil

À prоpos

Cоntact

Signaler une errеur

Un pеtit mоt ?

Sоutien

Fаirе un dоn

Librairiе pоétique en lignе

 



Photo d'après : Hans Stieglitz