Hugo

(1802-1885)

Recueils (ou ensembles) complets

1856 : Les Contemplations (I)

1856 : Les Contemplations (II)

1877 : L'Art d'être grand-père

1880 : L'Âne

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Aux Feuillantines

Chanson en canot

Écrit en 1846

L’Immaculée Conception

À ma fille Adèle

Ibo

Victor, sed victus

En voyant un petit enfant

Vois, cette branche est rude...

Coup d’œil général

Jolies femmes

Un jour au mont Atlas les collines...

Ô strophe du poète, autrefois, dans les fleurs...

Dans l’air

Jeanne fait son entrée

C’est la nuit ; la nuit noire...

N’est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente...

Canaris

Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche...

Nuit

Épitaphe de Jean Valjean

Fiat voluntas

Le Revenant

Je ne me mets pas en peine...

Oh ! les charmants oiseaux joyeux...

En marchant le matin

Ce que c’est que la mort

Pendant que le marin, qui calcule et qui doute...

Cri de guerre du mufti

La Ville prise

Mon bras pressait ta taille frêle...

Encore Dieu, mais avec des restrictions

Sur une barricade, au milieu des pavés...

Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin...

Il lui disait : Vois-tu, si tous deux nous pouvions...

Ô souvenirs ! printemps ! aurore !...

Les Forts

Lazzara

En mai

La Nichée sous le portail

Cérigo

Veni, vidi, vixi

Chanson d’ancêtre

Les Enfants pauvres

Chant sur le berceau

Aux arbres

Non, nul ne peut me prendre...

La Cicatrice

Aimons toujours ! aimons encore !...

Qu’était-ce que l’enfant ?...

Ronde pour les enfants

La Méridienne du lion

Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia

Charles Vacquerie

Dans l’alcôve sombre...

Grenade

Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées...

La Fête chez Thérèse

Attente

Autrefois, j’ai connu Ferdousi dans Mysore...

À propos de Doña Rosa

Suite

Gastibelza, l’homme à la carabine...

Fantômes

Au soleil couchant...

Tout pardonner, c’est trop...

Proscrit, regarde les roses...

À une jeune femme

Le Sacre de la Femme

Près d’Avranches

Vous êtes bien des fois venus dans ma demeure...

Les quatre enfants joyeux me tirent par la manche...

Conduite de l’homme vis-à-vis de la création

Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri...

Je racontais un conte...

La Figliola

Chose vue un jour de printemps

À un enfant

Dans la forêt

Gare !

Sur un portrait de sainte

Je suis des bois l’hôte fidèle...

Le Progrès calme et fort, et toujours innocent...

Luna

La Mère qui défend son petit

Soleils couchants

À une jeune fille

Les Mages

L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours...

Le Pas d’armes du roi Jean

La Source

Regardez : les enfants se sont assis en rond...

Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble...

L’Autre

La source tombait du rocher...

Danger d’aller dans les bois

À un homme partant pour la chasse

Chanson du Fou : Au soleil couchant...

Unité

Vicomte de Foucault, lorsque vous empoignâtes...

Entrée dans l’exil

Oceano nox

Autre chanson : L’aube naît, et ta porte est close...

Quand nous habitions tous ensemble...

Billet du matin

Les Paysans au bord de la mer

Nouvelle chanson : S’il est un charmant gazon...

Bêtise de la guerre

J’ai mené parfois dure vie...

L’Idylle du vieillard

Les Martyres

À des oiseaux envolés

Il fait froid

La Sortie

Chanson de grand-père

Comédie dans les feuilles

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent...

Saison des semailles — Le Soir

L’autre jour, ami cher...

Sentiers où l’herbe se balance...

Crépuscule

Claire

Le Pot cassé

On vit, on parle, on a le ciel et les nuages...

Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans...

La Grand-Mère

Jeanne lapidée

Nos morts

En marchant la nuit dans un bois

La femelle ? elle est morte...

Rencontre d’une petite fagotière

Trois ans après

Jeanne endormie — III

Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée...

Laetitia rerum

Stella

Promenades dans les rochers — III

Le Château de l’Arbrelles

À mademoiselle Louise B.

Les Tuileries

À L...

Un spectre m’attendait dans un grand angle d’ombre...

À Granville, en 1836

L’Âne Patience entre dans le détail

Chanson des deux barbares

Claire P.

Chanson pour faire danser en rond les petits enfants

À Paul M.

Oh ! reviens ! printemps ! fanfare...

Voyage de nuit

Le père vieillissant gît malade en son lit...

Chanson : La femelle ? elle est morte...

Le poème éploré se lamente ; le drame...

À quoi bon entendre...

Une alcôve au soleil levant

Autre guitare : Comment, disaient-ils...

La Trompette du Jugement

Amis, un dernier mot ! — et je ferme à jamais...

1er janvier

Le Rouet d’Omphale

Écrit sur la vitre d’une fenêtre flamande

À Eugène Vicomte H.

Puisque nos heures sont remplies...

Joies d’un soir

Un homme aux yeux profonds...

Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux...

Ce que dit le public

Et Jeanne à Mariette a dit...

Quia pulvis es

Dans le monde meilleur que rêve mon caprice...

J’aime un groupe d’enfants...

Oh ! n’insultez jamais une femme qui tombe !...

L’aube naît, et ta porte est close...

À Jeanne

Aux morts du 4 décembre

À l’ombre d’un enfant

Éclaircie

La Confiance du Marquis Fabrice

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne...

Halte en marchant

Dizain de femmes

Regardez cet enfant de cinq ans ; la feuillée...

À quoi je songe ? — Hélas ! loin du toit où vous êtes...

À Jeanne : Je ne te cache pas que j’aime aussi les bêtes...

Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin...

Printemps : Voici donc les longs jours...

Nomen, numen, lumen

Abîme

Les Yeux Bleus de Jeanne

Clair de lune

Suzette et Suzon

La hache ? Non. Jamais...

Réaction de la création sur l’homme

Le Soutien des empires

Mazeppa

Au bois

Le comte de Buffon fut bonhomme...

À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt

Promenades dans les rochers — II

Est-il jour ? Est-il nuit ?...

La Conscience

Je prendrai par la main...

Les petits sont ma joie en l’exil où nous sommes...

Jeanne songeait, sur l’herbe assise...

Puisque le juste est dans l’abîme...

À l’enfant malade pendant le siège

Mes deux filles

Chanson : Si vous n’avez rien à me dire...

Viens ! — une flûte invisible...

Mon âme est faite ainsi...

Elle était pâle, et pourtant rose...

C’est dans la rue du Mail...

À Virgile

Puisqu’ici-bas toute âme...

Janvier est revenu...

Que voulez-vous ? L’enfant...

Georges et Jeanne

Enthousiasme

Il faut que le poète, épris d’ombre et d’azur...

Pleurs dans la nuit

Apparition

Conduite de l’homme vis-à-vis de la société

Si vous n’avez rien à me dire...

À Jules J.

À Georges

Après la bataille

Tristesse finale

Les Fusillés

La Chouette

Aux champs

Églogue

Quand le livre où s’endort...

Regard jeté dans une mansarde

Ponto

À vous qui êtes là

Quand la lune apparaît...

Dans ce jardin antique...

Je respire où tu palpites...

Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève...

Entre deux bombardements

Je suis fait d’ombre et de marbre...

Ô Dieu ! si vous avez la France sous vos ailes...

À M. Froment Meurice

L’Ombre

Quelques mots à un autre

Saturne

Le Poète

La Mise en liberté

La Vision de Dante

La Prière pour tous

À ceux qui sont petits

La Coccinelle

Lise

La Blanche Aminte

Relligio

Une femme m’a dit ceci : — J’ai pris la fuite...

La face de la bête est terrible ; on y sent...

Vénus

Fonction du poète

Aux anges qui nous voient

Je sais bien qu’il est d’usage...

Pure innocence ! vertu sainte !...

À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ?...

Tous les bas âges sont épars...

L’aurore s’allume...

Booz endormi

Ultima verba

Lux, I

À celle qui est voilée

À Madame D. G. de G.

Vision sombre ! un peuple en assassine un autre...

Promenades dans les rochers — I

Chanson de Gavroche : La bourgeoisie est un veau...

Vœu

Envoi des Feuilles d’automne

À Albert Dürer

Écrit après la visite d’un bagne

À ceux qui dorment

À propos d’Horace

Sara la baigneuse

À Vianden

Les femmes sont sur la terre...

Un soir que je regardais le ciel

Après une lecture de Dante

Éviradnus

Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte...

Une nuit à Bruxelles

L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée...

Je disais Dieu qu’aucun suppliant...

Promenades dans les rochers — IV

L’Enfant et la Corde

Sécurité du penseur

Adieux de l’hôtesse arabe

Pour l’erreur, éclairer, c’est apostasier...

Commencement d’une illusion

Jeanne endormie — I — La Sieste

Admire, enfant ! souvent aux marins de Messine ...

Quelle est la fin de tout ?...

C’était la première soirée...

Amour

À celle qui est restée en France

À qui la faute ?

À un poète

Dans le cimetière de ***

Chanson d’autrefois : Quelqu’un connaît-il ma cachette ?...

Le Ravin

Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir

La Chanson du spectre

Nuit tombante

Ô gouffre ! l’âme plonge et rapporte le doute...

Ami, j’ai quitté vos fêtes...

La Pente de la rêverie

Dolorosæ

La Chanson d’Hacquoil le marin

Le Mendiant

Choses écrites à Créteil

Extase

Soirée en mer

Ô Rus

Lorsque l’enfant paraît...

Un groupe tout à l’heure...

Fenêtres ouvertes

Quand l’eunuque régnait à côté du césar...

Conduite de l’homme vis-à-vis des génies

En sortant du collège

Les enfants lisent, troupe blonde ;...

Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges...

Ah ! vous voulez la lune...

Pour les pauvres

Après justice faite

Tristesse du philosophe

Hier au soir

Chanson d’aujourd’hui : Je disais Dieu qu’aucun suppliant...

Tentanda via est

Le Maître d’études

Le Chasseur noir

Écoutez. Je suis Jean. J’ai vu des choses sombres...

Que t’importe, mon cœur...

La Plume de Satan

Tout homme est pris...

La tombe dit à la rose...

La vision de la vie...

La Captive

La Sultane favorite

Le Trouble-fête

Un jour, le morne esprit, le prophète sublime...

Les Pauvres Gens

Exil

Ô petits, je ne puis que vous voir et pleurer...

Au fils d’un poète

Voyons, d’où vient le verbe ?...

Comment, disaient-ils...

Les Griffonnages de l’écolier

À mon père

En frappant à une porte

Toutes sortes d’enfants...

Aux proscrits

Les Innocents

Ce que dit la bouche d’ombre

Encore l’immaculée conception

Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites...

Du haut de la muraille de Paris à la nuit tombante

Aucune aile ici-bas...

À la mère de l’enfant mort

Non

Une bombe aux Feuillantines

Un tableau d’Albert Dürer

Mon petit-fils

Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère...

Chanson de pirates

Enveloppe d’une pièce de monnaie dans une quête faite par Jeanne

Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique

Quand les guignes furent mangées...

Où donc est le bonheur ?...

À Ramon, duc de Benav

Oh ! comme ils sont goulus...

Laissez. — Tous ces enfants sont bien là...

Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade...

Sunt lacrimae rerum

Au bord de la mer

Rosa fâchée

C’est une émotion étrange...

Mais tu brûles ! Prends garde, esprit !...

Les siècles sont au peuple ; eux, ils ont le moment...

L’Exilé satisfait

Ce qu’on entend sur la montagne

Ô mes lettres d’amour...

Toute la vie d’un cœur

En écoutant les oiseaux

Il est un peu tard pour faire la belle...

Pasteurs et troupeaux

Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose...

Et nox facta est

Jamais elle ne raille...

Insondable, immuable, éternel, absolu...

Voici donc les longs jours...

Paroles sur la dune

Puisque mai tout en fleurs...

Un manque

Sagesse

Magnitudo parvi

Depuis six mille ans la guerre...

Que les petits liront quand ils seront grands

Mors

La Rose de l’Infante

Jour de fête aux environs de Paris

Chanson : Proscrit, regarde les roses...

Voici que la saison décline...

Tristesse d’Olympio

Souvenir de la nuit du 4

Nuits de juin

Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants...

S’il est un charmant gazon...

Oh ! je fus comme fou dans le premier moment...

Va-t’en, me dit la bise...

Mes adieux à l’enfance

Je n’ai pas de palais épiscopal en ville...

Sommation irrespectueuse

Fonction de l’enfant

C’est parce qu’elle se taisait

Jeanne endormie — II

Guerre civile

Le Chant de ceux qui s’en vont sur mer

À des âmes envolées

Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre...

À la belle impérieuse

J’étais enfant. Le bon abbé de la Rivière...

Spes

Ce siècle est grand et fort...

Nourmahal-la-Rousse

Vous rappelez-vous notre douce vie...

Jeune fille, l’amour...

Puisque j’ai mis ma lèvre...

Que la musique date du seizième siècle

Conduite de l’homme vis-à-vis des enfants

À Alexandre D.

Mugitusque Boum

Je la revois, après vingt ans, l’île...

Guitare : Gastibelza, l’homme à la carabine...

Voix dans le grenier

Date lilia

Épilogue — Dans l’ombre

Quiconque est amoureux...

Le poète s’en va dans les champs ; il admire...

Le Doigt de la femme

Enfant, le peuple te regarde...

Premier Mai

Mélancolie

Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux...

Garde à jamais dans ta mémoire...

Rêverie

À une femme

L’Âme à la poursuite du vrai

Lettre à une femme

Dans les ruines d’une abbaye

Dolor

Fable ou Histoire

Une tape

Paroles dans l’ombre

Je suis enragé. J’aime et je suis un vieux fou...

Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande !...

J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline...

La bourgeoisie est un veau...

Hélas ! tout est sépulcre. On en sort, on y tombe...

J’aime l’araignée et j’aime l’ortie...

Insomnie

À ceux qu’on foule aux pieds

Le Poète bat aux champs

Pepita

Le Pont

L’Enfance

La France, ô mes enfants, reine aux tours fleuronnées...

La prisonnière passe, elle est blessée. Elle a...

Spectacle rassurant

Les autres en tout sens laissent aller leur vie...

Quand le Cid fut entré dans le Généralife...

Croire, mais pas en nous

Certe, elle n’était pas femme et charmante en vain...

La Terre

Explication

Les Malheureux

Vieille chanson du jeune temps

Qu’est-ce que cette terre ? Une tempête d’âmes...

À l’Homme

Passé

Intérieur

À propos de la loi dite liberté de l’enseignement

Soir

À un poète aveugle

Petit Paul

Conduite de l’homme vis-à-vis de lui-même

Souvenir d’enfance

La clarté du dehors ne distrait pas mon âme...

Le Manteau impérial

Vere novo

Homo duplex

Il n’avait pas vingt ans...

À Ol.

C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux...

À petite Jeanne

La Fiancée du timbalier

Nous allions au verger cueillir des bigarreaux...

À Mademoiselle Fanny de P.

Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée...

Colère de la bête

J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées...

Sous les arbres

Choses du soir

Question sociale

Où donc est la clarté ?...

France ! à l’heure où tu te prosternes...

Mon enfance

Après l’hiver

L’Expiation

15 février 1843

C’est une chose grande...

Réponse à un acte d’accusation

La Canadienne suspendant au palmier le corps de son enfant

L’Enfant

À la fenêtre pendant la nuit

Les Enfants gâtés

À Villequier

Chanson d’autrefois : Jamais elle ne raille...

Pour le livre du grand-père

Rien n’est mort, rien n’est faux, rien n’est noir, rien n’est triste...

Écrit au bas d’un crucifix

La Vie aux champs

N’envions rien

Chanson de Maglia

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé...

Écrit en 1827

Il était une fois

Au lion d’Androclès

Fulgur

Horror

Le firmament est plein de la vaste clarté...

Elle était déchaussée, elle était décoiffée...

Cadaver

Ora, ama

Au peuple

Lueur au couchant

La nature est pleine d’amour...

Printemps

Jeanne endormie — IV

Fuite en Sologne

Le Portrait d’un enfant

Lettre

Épitaphes d’enfants

La Nuit autour de l’Homme

La Statue

Les Djinns

Liberté !

Le Syllabus

Parfois, je me sens pris d’horreur pour cette terre...

En écoutant chanter la Princesse ***

L’Oubli

Vers 1820

Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux...

La Nature

Écrit sur le tombeau d’un petit enfant au bord de la mer

Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille...

En hiver la terre pleure...

Dieu fait les questions...

La Vache

La Chanson de Jean Prouvaire

Chelles

Parfois, lorsque tout dort...

Baraques de la foire

Passereaux et rouges-gorges...

À Aug. V.

Vivants

À ma fille

Le Crapaud

Novembre

Une terre au flanc maigre, âpre, avare, inclément...

Dans le jardin

Je ne te cache pas que j’aime aussi les bêtes...

Les hirondelles sont parties...

Regardez-les jouer...

L’univers, c’est un livre, et des yeux qui le lisent...

Dénonciation de l’esprit des bois

Hier, la nuit d’été...

Melancholia

Je payai le pêcheur qui passa son chemin...

Mes vers fuiraient, doux et frêles...

Bièvre

Rencontre

Les Oiseaux

Épitaphe

Jeanne était au pain sec...

Au poète qui m’envoie une plume d’aigle

Chanson d’aujourd’hui : La vision de la vie...

À André Chénier

Hermina

Quelqu’un connaît-il ma cachette ?...

La Fée et la Péri

Le couchant flamboyait...

Mariée et mère

Ô Charles, je te sens près de moi. Doux martyr...

Un grand sabre serait...

Écrit en 1855

La Légende de la Nonne

Sur la falaise

Les Tronçons du serpent

L’Épopée du lion

Les bêtes, cela parle ; et Dupont de Nemours...

La Fleur et le Papillon

Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813

Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange...

 
L’Immaculée Conception



L’enfant partout. Ceci se passe aux Tuileries.
Plusieurs Georges, plusieurs Jeannes, plusieurs Maries ;
Un qui tette, un qui dort ; dans l’arbre un rossignol ;
Un grand déjà rêveur qui voudrait voir Guignol ;
[...]

[lire le poème...]


 
Toutes sortes d’enfants, blonds, lumineux, vermeils,
Dont le bleu paradis visite les sommeils
Quand leurs yeux sont fermés la nuit dans les alcôves,
Sont là, groupés devant la cage aux bêtes fauves ;
Ils regardent.
[...]

[lire le poème...]

La Mise en liberté


 
Après ce rude hiver, un seul oiseau restait
Dans la cage où jadis tout un monde chantait.
Le vide s’était fait dans la grande volière.
Une douce mésange, autrefois familière,
Était là seule avec ses souvenirs d’oiseau.
[...]

[lire le poème...]


Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n’eut plus son ange.
La chose simplement d’elle-même arriva,
Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va.
 
[...]

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Déposé par KayBward le 12 février 2014 à 09h35

YOLO BIEN TON BIDE

* Le 15-18 plante son drapeau *

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par monique le 27 mars 2014 à 14h16

C’est quoi c’est ce commentaire?

Hugo est notre plus grand poète hélas! a dit un poète dont personne ne peut citer un seul vers...

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par lancelot le 12 mars 2015 à 12h44

certes en plus d’un bon poète, bon père, bon grand-père, bon patriote, bon croyant en somme: travail, famille, patrie...quant à l’époux...hum hum plutôt volage...

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par cesar le 1er septembre 2015 à 21h20

André Gide n’est pas un illustre inconnu !!! Prix Nobel 1947 quand même ! Certes il est plus connu par ses romans que par ses poèmes mais enfin .....  il devait avoir quelques compétences en la matière
Ps sur ce même site ont peut lire de poèmes de Gide

[Lien vers ce commentaire]

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