Francis Jammes

(1868-1938)

Recueils (ou ensembles) complets

1898 : De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir

1901 : Le Deuil des primevères

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Le calendrier utile

La Jeune Fille nue

Il s’occupe

Elle avait emporté des brassées de lilas...

Je vois par la vitre

Comme un chant

Quelques personnes, cinq ou six, sous la tonnelle...

Madame de Warens

Ce fils de paysan

Ce sont de grandes lignes paisibles...

Élégie huitième : Toi qui ne m’as pas fait mal encore...

Demain fera un an qu’à Audaux je cueillais...

Bâte un âne

Ils m’ont dit...

J’écris dans un vieux kiosque

Le village à midi

J’ai été visiter

Vous m’avez regardé avec toute votre âme...

La poussière des tamis

Je t’aime

La poussière froide

Qui n’aimerait, pareil au bûcheron, la nuit...

Ô mon cœur ! ce sera dans l’Août bleu et torride...

Ô grand vent...

Le Bon Chien

Avec les pistolets

Menuet

EXISTENCES (fragments)

Il est près de Salles

Que tu es belle

Élégie neuvième : Sur le sable des allées...

Fragment : Les Processions des campagnes

La Petite qui est morte

Prière pour offrir à Dieu de simples paroles

Ce pays a la fraîcheur...

Je mettrai

Une feuille morte tombe

Sur le sable des allées...

Je songe à ce jour-là où vous me confierez...

Quand dans le brouillard

Homère avait un chien. Homère, je suppose...

Comme le patriarche, au milieu de la vie...

Un gentilhomme

Quand mon coeur sera mort d’aimer...

Silence

FINALE DU CANTIQUE DE LOURDES

Élégie sixième : Le paysage était humble...

Cette personne

Faisait-il beau quand elle est morte, votre amie...

C’était à la fin

Prière pour avoir une femme simple

Ouvrier précieux

Si tout ceci n’est qu’un pauvre rêve, et s’il faut...

Prière pour louer Dieu

Je pense à Jean-Jacques

Tu serais nue sur la bruyère

Avant que nous rentrions

Venez, ma bien-aimée, venez, ô ma cigale...

Prière pour avoir la foi dans la forêt

Un nuage est une barre

Le filet d’eau qui s’écoule de cette tuile...

Fragment : Scène première

Lorsque je serai mort

Je le trouvai

L’une de mes enfants, dans la douce prairie...

Élégie onzième : Où es-tu ?...

Amie, souviens-toi

Oh ! ce parfum

Je crève de pitié

À Jeanne Fort

Le Poète et l’Oiseau

«Écoute, dans le jardin»

Élégie quatorzième : Mon amour, disais-tu...

Tape le linge

Le paysan

En songeant

Que je t’aime

Le vent triste

Prière pour que le jour de ma mort soit beau et pur

Élégie première : Mon cher Samain...

Les Dimanches

Élégie douzième : Ô grand vent...

Au bord de l’eau verte

Élégie treizième : Lorsque l’on jouera de l’orgue...

Pourquoi voulez-vous ?

Son souvenir emplit l’air si clair que j’ai cru...

Aujourd’hui, le long de la nuit

Tu t’ennuies ?

Les pâturages

Prière pour qu’un enfant ne meure pas

Je sais que tu es pauvre

Tristesses

La gueule d’un vieux pot à soupe bâille au pied...

Prière pour être simple

Vieille marine

La Pêche à Lendresse

L’après-midi

Dans la grange

Ne me console pas...

J’allai à Lourdes

Avec ton parapluie

L’Église habillée de feuilles

La Prière

J’aime dans le temps

La gomme coule

Dans le chemin toujours trempé, tant y est épais...

Confucius rendait les honneurs

Prière pour se recueillir

Venez sous la tonnelle assombrie de lilas...

Pourquoi les bœufs

Prière pour un dernier désir

Guadalupe de Alcaraz

Par ce que j’ai souffert, ma mésange bénie...

Toi qui ne m’as pas fait mal encore...

Le soleil faisait luire

J’ai une pipe

Fragment : Scène deuxième

Prière pour demander une étoile

Il y a par là

L’âne était petit

Il y a un petit cordonnier

Il a plu. La terre fraîche...

Le vieux village

Dimanche des Rameaux

Où es-tu ?...

Élégie dixième : Quand mon cœur sera mort d’aimer...

Bruges

Élégie quinzième : J’ai retrouvé, dans cette flore...

Amsterdam

Septembre

Le chat est auprès du feu

La ferme était luisante

Spirituelle, bleue et fraîche matinée...

J’allais dans le verger

Je parle de Dieu

Dans le verger

La jeune fille un peu souffrante

Les villages

J’ai revu le pays natal, mais dans un songe...

Je ne m’y trompe pas...

Il avait mis sa belle veste...

L’Âne de Sancho Pança

Le pauvre pion

Je souffre, mais

L’enfant lit l’almanach...

Je ne désire point ces ardeurs qui passionnent...

Voici les mois d’automne

J’aime l’âne

Elle va à la pension

Tu rirais

Il y avait des carafes

Les petites colombes

La Fièvre

Qu’est-ce que le bonheur ? Peut-être un vallon bleu...

Fragment : Première partie

Viens, je te mettrai

C’est aujourd’hui

Les Bouquins

Prière pour aller au paradis avec les ânes

Les grues

Laisse les nuages

Caügt

On m’éreinte

Regarde la bonne chienne

La paix est dans le bois

Sabbat

On dit qu’à Noël

Ô toi, rose moussue

Deux ancolies se balançaient sur la colline...

Il va neiger

Je m’embête

Jamais ni la bruyère en feu, ni les cigales...

Dis-moi, dis-moi, guérirai-je...

J’ai quelqu’un dans le cœur...

Le Deuil du conseiller municipal

Voici le grand azur

Tu viendras

Je pense à vous...

Le pauvre chien

C’était affreux

Je regardais le ciel

Au pied de mon lit, une Vierge négresse...

J’étais gai

Pour son mariage

Le champ de blé mûr est un carré de soleil...

Les roses du château de X...

L’évier sent fort

Élégie seconde : Les fleurs vont de nouveau luire...

Nous nous aimerons tant que nous tairons nos mots...

Je suis dans un pré

Prière pour que les autres aient le bonheur

Dans l’auberge fumeuse...

Elle était descendue au bas de la prairie...

Je garde une médaille d’elle où sont gravés...

J’ai vu, dans de vieux salons

Élégie cinquième : Les anémones d’Octobre...

Elle est gravement gaie. Par moments son regard...

C’est un coq...

J’ai retrouvé, dans cette flore...

Les fleurs vont de nouveau luire...

Élégie septième : Dis-moi, dis-moi, guérirai-je...

Quand verrai-je les îles

Il vint à l’étude

Les lilas qui avaient fleuri l’année dernière...

Tu écrivais

Parfois, je suis triste. Et, soudain, je pense à elle...

Les Nègres

LES GÉORGIQUES CHRÉTIENNES (fragments)

J’ai fumé ma pipe en terre

La salle à manger

Les pieds au coin du feu...

La vallée

Ta figure douce

L’eau coule

Du courage ?

TABLEAU D’HIVER

J’ai vu revenir les choses...

Un jeune homme

Mon cher Samain...

Élégie dix-septième : Il a plu. La terre fraîche...

La jeune fille

L’eau coule dans l’eau

Lorsque l’on jouera de l’orgue...

Si tu pouvais

Un poète disait que, lorsqu’il était jeune...

Le paysage était humble...

Prière pour avouer son ignorance

Vieille maison

JEAN DE NOARRIEU (fragments)

Ce sont les travaux

Tu seras nue

Quand tu m’as demandé...

Je fus à Hambourg...

Au beau soleil

Les anémones d’Octobre...

Élégie quatrième : Quand tu m’as demandé...

Élégie seizième : Les roses du château de X...

La maison serait pleine de roses

Au moulin du bois froid

ALEXANDRE DE RUCHENFLEUR (fragment)

Mon amour, disais-tu...

Les Cerises

Élégie troisième : Ce pays a la fraîcheur...

Prière pour aimer la douleur

Les badauds

 
Il y avait des carafes


 


        Il y avait des carafes d’eau claire
dans le petit jardin noir du ministre protestant,
        à sa maison qui a un air sévère ;
        et il y avait aussi de gros verres
[...]

[lire le poème...]

Avec les pistolets


 
Avec les pistolets aux fontes,
il monte, il monte, il monte, il monte,
 
monte la côte de la route,
le soir dans la campagne rousse.
 
Chapeau tricorne : il est marquis ;
relevés sont ses pans d’habit.
 
Du tricorne une roide tresse
tombe et en avant il se baisse.
 
Il est rasé, rasé, rasé,
a les yeux bleus, un rouge nez.
[...]

[lire le poème...]

Je le trouvai


 
Je le trouvai assis près des étoffes bleues et crues
dont il faisait le commerce pour le Sénégal.
L’été chaud était frais parce que dans la rue
l’arrosage vert était traîné par un cheval.
 
[...]

[lire le poème...]

Le Deuil du conseiller municipal


 
Cher Monsieur Van den Pott, fils du pays flamand,
Qui vîntes en Béarn, la boîte à botanique
Passée au dos, vernie et d’un vert si charmant
Qu’on eût dit d’un géant insecte carabique :
[...]

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Déposé par surletard le 21 août 2013 à 10h09

Bonjour,
Je recherche une poésie de Francis Jammes apprise en classe il y a longtemps et qui se termine par  "et je souris quand en entrant on dit comment allez-vous Monsieur Jammes?"
Pourriez-vous me renseigner?  Merci.
Anne.

[Lien vers ce commentaire]

Déposé par Christian le 21 août 2013 à 15h35

Très probablement le poème "La salle à manger" que vous pourrez lire sur ce site.

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Déposé par Jean ZAINO poète le 17 mars 2014 à 16h48

Les ouvrages de chevet de françis JAMMES :
"De l’Angélus de l’Aube à l’Angélus de soir"
" le Deuil des  primevères"...
car  : " Etre poète c’est tremper la plume dans son coeur et écrire avec son sang"..
extrait de :" Les Matins d’Algue" de Jean ZAINO. (1968)
                   prix Géraldine - TOULOUSE
                médaille de la Société d’Encouragement au progrès
                                            de la Ville    de  PARIS

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Déposé par sandrine66 le 28 décembre 2014 à 02h31

je cherche une poésie apprise en classe il y a longtemps, je ne sais même pas si elle est  de francis jammes, mais ça me dit quelque chose.
Le début était :" On commence par tuer les oiseaux
Parce qu’il y en a trop " et la fin : " et on finit par aller jeter des bombes sur les Viets, parce que ....., c’est pas très catholique."
Merci de votre aide

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Déposé par Snowman le 28 décembre 2014 à 10h37


C’est de Pierre Ferran :

http://beji42.unblog.fr/2007/03/05/poemes-epars_1/

(troisième texte en partant de la fin).

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Déposé par Nicholas Newman le 20 novembre 2018 à 02h33

J’espère Surletard que quelqu’un d’autre vous a répondu entre-temps à votre question d’il y a 5 ans !
La réponse à votre question est "La Salle à Manger" et cela figure sur ce site.

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Déposé par Nicholas newman le 20 novembre 2018 à 02h36

Ah, Surletard, je n’avais pas vu, avant de répondre, que Christian avant déjà répondu.

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