— « Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre Tu te plains, ô captif solitaire du seuil, Que ce sépulcre à deux qui fera notre orgueil Hélas ! du manque seul des lourds bouquets s’encombre. [...]
Yeux, lacs avec ma simple ivresse de renaître Autre que l’histrion qui du geste évoquais Comme plume la suie ignoble des quinquets, J’ai troué dans le mur de toile une fenêtre.
Princesse ! à jalouser le destin d’une Hébé Qui poind sur cette tasse au baiser de vos lèvres, J’use mes feux mais n’ai rang discret que d’abbé Et ne figurerai même nu sur le Sèvres.