Ronsard

(1524-1585)

Recueil complet

1578 : Sonnets pour Hélène

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Chanson : Pour boire dessus l’herbe tendre...

Le Soleil l’autre jour se mit entre nous deux...

Je vis ma Nymphe entre cent damoiselles...

Amour, je prends congé de ta menteuse école...

Je sens une douceur à conter impossible...

Je ne veux point la mort de celle qui arrête...

Puisse advenir, qu’une fois je me venge...

Une beauté de quinze ans enfantine...

Si vos yeux connaissaient leur divine puissance...

Or que l’hiver roidit la glace épaisse...

Bien que l’esprit humain s’enfle par la doctrine...

Te regardant assise auprès de ta cousine...

Je ne veux comparer tes beautés à la Lune...

De vos yeux tout divins, dont un Dieu se paîtrait...

Plus étroit que la Vigne à l’Ormeau se marie...

Voulant tuer le feu, dont la chaleur me cuit...

J’espère et crains, je me tais et supplie...

Si seulement l’image de la chose...

Ce beau corail, ce marbre qui soupire...

Agathe, où du Soleil le signe est imprimé...

Je fuis les pas frayés du méchant populaire...

De soins mordants et de soucis divers...

Pourquoi comme une jeune poutre...

Pourtant si j’ai le chef plus blanc...

Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi...

Ciel, air et vents, plains et monts découverts...

À son âme

Il faut laisser maisons...

Voyant par les soudards ma maison saccagée...

Sur mes vingt ans, pur d’offense et de vice...

À un aubépin

Quand au temple nous serons...

Tu te moques, jeune ribaude...

Soit que je sois haï de toi, ma Pasithée...

Beauté, dont la douceur pourrait vaincre les Rois, Mon cœur...

Celui qui n’aime est malheureux...

La Nature a donné des cornes aux tauraux...

Si j’ai bien ou mal dit en ces Sonnets, Madame...

Je suis émerveillé que mes pensers ne sont...

Quand je vous vois, ou quand je pense à vous...

J’ai l’esprit tout ennuyé...

J’errais en mon jardin, quand au bout d’une allée...

Tant de fois s’appointer...

Bonjour mon cœur, bonjour ma douce vie...

Chef, école des arts, le séjour de science...

Afin qu’à tout jamais de siècle en siècle vive...

Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde...

Sonnet à M. Forget

Tes frères les Jumeaux, qui ce mois verdureux...

L’autre jour que j’étais sur le haut d’un degré...

Amour abandonnant les vergers de Cythères...

Par un destin dedans mon cœur demeure...

Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâté...

Pour la douleur, qu’Amour veut que je sente...

Il faisait chaud, et le somme coulant...

Amour a tellement ses flèches enfermées...

Seule sans compagnie en une grande salle...

N’oubliez, mon Hélène, aujourd’hui qu’il faut prendre...

Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère...

Ode Anacréontique : La terre les eaux va boivant...

Ce fol penser pour s’envoler plus haut...

À sa Maîtresse

Amour, tu semble au phalange qui point...

De ses cheveux la roussoyante Aurore...

Épitaphe de Jacques Mernable

Dedans des Prés je vis une Dryade...

Quand je te vois, seule, assise, à part toi...

Vous méprisez nature : êtes-vous si cruelle...

Quand je devise assis auprès de vous...

Mon âme mille fois m’a prédit mon dommage...

Ainsi que cette au coule et s’enfuit parmi l’herbe...

De toi ma belle Grecque, ainçois belle Espagnole...

Je ne serais marri, si tu comptais ma peine...

D’autre torche mon cœur ne pouvait s’allumer...

Dessus l’autel d’Amour planté sur votre table...

À l’aller, au parler, au flamber de tes yeux...

Je vois mille beautés, et si n’en vois pas une...

Ah ! si l’or pouvait allonger...

Vu que tu es plus blanche que le lys...

Tandis que vous dansez et ballez à votre aise...

J’avais, en regardant tes beaux yeux, enduré...

Doux dédains, douce amour d’artifice cachée...

Je voyais, me couchant, s’éteindre une chandelle...

Œil, qui mes pleurs de tes rayons essuie...

Vous ruisseaux, vous rochers, vous antres solitaires...

Je veux, me souvenant de ma gentille amie...

Jeune beauté mais trop outrecuidée...

Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte...

Le plus touffu d’un solitaire bois...

Adieu, cruelle, adieu, je te suis ennuyeux...

Ni voir flamber au point du jour les roses...

Afin que ton honneur coule parmi la plaine...

Je suis pour votre amour diversement malade...

Heureux le Chevalier, que la Mort nous dérobe...

Qui voudra voir comme amour me surmonte...

Amour archer d’une tirade rompt...

Le mal est grand, le remède est si bref...

Deux Vénus en Avril (puissante Déité)...

Quand je dors je ne sens rien...

Lance au bout d’or qui sais et poindre et oindre...

Ma fièvre croît toujours, la vôtre diminue...

Ha, seigneur Dieu, que de grâces écloses...

Lors que le Ciel te fit, il rompit la modèle...

En choisissant l’esprit vous êtes malapprise...

Je te voulais nommer pour Hélène, Ortygie...

Sous le cristal d’une argenteuse rive...

Si mille œillets, si mille lys j’embrasse...

Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse...

Versons ces roses près ce vin...

Plus mille fois que nul or terrien...

Pour boire dessus l’herbe tendre...

Plus tu connais que je brûle pour toi...

Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle...

La terre les eaux va boivant...

Soit qu’un sage amoureux, ou soit qu’un sot me lise...

Mignonne, levez-vous, vous êtes paresseuse...

Ailés Démons, qui tenez de la terre...

Maîtresse, quand je pense aux traverses d’Amour...

Ce siècle, où tu naquis, ne te connaît, Hélène....

Amour, qui tiens tout seul de mes pensers la clef...

Nature ornant la dame qui devait...

De vos yeux, le miroir du Ciel et de Nature...

Voici le bois, que ma sainte Angelette...

Hélène sut charmer avecque son Népenthe...

Hé que voulez-vous dire ?...

Vous me dites, Maîtresse, étant à la fenêtre...

Ode à l’arondelle

Ah traître Amour, donne-moi paix ou trêve...

Petit nombril, que mon penser adore...

Ma douce Hélène, non, mais bien ma douce haleine...

Le vingtième d’Avril couché sur l’herbelette...

Bien que les champs, les fleuves et les lieux...

L’arbre qui met à croître, a la plante assurée...

Cette fleur de Vertu, pour qui cent mille larmes...

Puisque tu sais, hélas ! qu’affamé je me pais...

Ha, que ta Loi fut bonne, et digne d’être apprise...

Trois ans sont jà passés que ton œil me tient pris...

Avecques moi pleurer vous devriez bien...

Celui qui est mort aujourd’hui...

Douce Maîtresse, touche...

Je suis homme, né pour mourir...

Le printemps n’a point tant de fleurs...

Je sens de veine en veine une chaleur nouvelle...

Quand à longs traits je bois l’amoureuse étincelle...

De votre belle, vive, angélique lumière...

Si je trépasse entre tes bras, Madame...

Comme un Chevreuil, quand le printemps détruit...

J’ai pour maîtresse une étrange Gorgone...

Je voudrais être Ixion et Tantale...

Lettre, de mon ardeur véritable interprète...

Quand je suis vingt ou trente mois...

Bienheureux fut le jour, où mon âme sujette...

À sa guitare

Si c’est aimer, Madame, et de jour et de nuit...

Cet amoureux dédain, ce Nenni gracieux...

Amour, je ne me plains de l’orgueil endurci...

Institution de l’adolescence du roi très-chrétien Charles

Le soir qu’Amour vous fit en la salle descendre...

Voici le mois d’Avril, où naquit la merveille...

Yeux, qui versez en l’âme, ainsi que deux Planètes...

Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse...

Il ne suffit de boire en l’eau que j’ai sacrée...

Prends cette rose aimable comme toi...

Contre les bûcherons de la forêt de Gastine

Marie, qui voudrait votre nom retourner...

La Tombeau de l’auteur

Je n’ai plus que les os, un squelette je semble...

Je parangonne à ta jeune beauté...

Je te salue, ô vermeillette fente...

Dans le serein de sa jumelle flamme...

Sonnet masculin : Lance au bout d’or qui sais et poindre et oindre...

Mon Dieu, mon Dieu, que ma maîtresse est belle !...

J’attachai des bouquets de cent mille couleurs...

Belle gorge d’albâtre, et vous chaste poitrine...

Le jour pousse la nuit...

Tu es seule mon cœur, mon sang et ma Déesse...

Ne romps point au métier par le milieu la trame...

Soit que son or se crêpe lentement...

Contre Denise Sorcière

Comme un vieil combattant, qui ne veut plus s’armer...

Dois-je voler emplumé d’espérance...

À la Forêt de Gastine

Œil, qui portrait dedans les miens reposes...

Qu’Amour mon cœur, qu’Amour mon âme sonde...

Amour me tue, et si je ne veux dire...

Doux fut le trait, qu’Amour hors de sa trousse...

Fais rafraîchir mon vin de sorte...

Toujours pour mon sujet il faut que je vous aie...

Amour, Amour, donne-moi paix ou trêve...

Sonnet féminin : Je te salue, ô vermeillette fente...

Madame se levait un beau matin d’Été...

Lettre, je te reçois, que ma Déesse en terre...

Marie, vous avez la joue aussi vermeille...

Laisse de Pharaon la terre Égyptienne...

De Myrte et de Laurier feuille à feuille enserrés...

Ode à l’alouette

Cent et cent fois le jour l’Orange je rebaise...

Ni ta simplicité, ni ta bonne nature...

Ôtez votre beauté, ôtez votre jeunesse...

Nous ne sommes esprits, mon Galland, nous ne sommes...

Je m’enfuis du combat, ma bataille est défaite...

Chanson : Douce Maîtresse, touche...

Ange divin, qui mes plaies embaume...

Sans soupirer vivre ici je n’ai pu...

Quand en songeant ma folâtre j’acolle...

Ah, belle liberté, qui me servais d’escorte...

Les villes et les bourgs me sont si odieux...

L’Alouette

Amour, qui as ton règne en ce monde si ample...

Ores l’effroi et ores l’espérance...

Celle, de qui l’amour vainquit la fantaisie...

Ni de son chef le trésor crépelu...

Chanson : Quand ce beau printemps je vois...

Épitaphe de François Rabelais

Ma Dame, je me meurs abandonné d’espoir...

D’un solitaire pas je ne marche en nul lieu...

Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose...

Las, je me plains de mille et mille et mille...

Je voudrais bien richement jaunissant...

Que tu es Cicéron un affetté menteur...

Vous triomphez de moi, et pource je vous donne...

Ce premier jour de Mai, Hélène, je vous jure...

Adieu belle Cassandre, et vous belle Marie...

L’Amour oiseau

Coche cent fois heureux, où ma belle Maîtresse...

D’un pasteur au Dieu Pan

De l’Élection de son Sépulcre

Comme une belle fleur assise entre les fleurs...

Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas...

Ô doux parler, dont l’appât doucereux...

Le Nuage, ou l’Ivrogne

Mon Dieu, que j’aime à baiser les beaux yeux...

Ces liens d’or, cette bouche vermeille...

Ce ris plus doux que l’œuvre d’une abeille...

Quand je pense à ce jour où je la vis si belle...

Beauté, dont la douceur pourrait vaincre les Rois, Renvoyez-moi...

Je veux brûler, pour m’envoler aux cieux...

Amour est sans milieu, c’est une chose extrême...

Tu ne dois en ton cœur superbe devenir...

L.M.F.

Ces longues nuits d’hiver, où la Lune ocieuse...

C’est grand cas que d’aimer ! si je suis une année...

Pourtant si ta maîtresse est un petit putain...

Passant dessus la tombe, où ta moitié repose...

Tout ce qui est de saint, d’honneur et de vertu...

Bon jour, ma douce vie, autant rempli de joie...

Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle...

J’errais à la volée, et sans respect des lois...

Pour voir d’autres beautés mon désir ne s’apaise...

Ne s’effroyer de chose qui arrive...

Si de vos doux regards je ne vais me repaître...

Ton extrême beauté par ses rais me retarde...

Hélas ! voici le jour que mon maître on enterre...

Nous promenant tous seuls, vous me dites, Maîtresse...

Je vous envoie un bouquet...

Je mourrais de plaisir voyant par ces bocages...

Quand ce beau printemps je vois...

Je ne suis seulement amoureux de Marie...

Ah longues Nuits d’hiver, de ma vie bourrelles...

Hélène fut occasion que Troie...

Dieu vous gard’, messagers fidèles...

Mignonne, allons voir si la rose...

Ces cheveux, ces liens, dont mon cœur tu enlaces...

Dedans les flots d’Amour je n’ai point de support...

Il ne faut s’ébahir, disaient ces bons vieillards...

Aller en marchandise aux Indes précieuses...

Une seule vertu, tant soit parfaite et belle...

Rossignol mon mignon...

Je chantais ces Sonnets, amoureux d’une Hélène...

Tout me déplait, mais rien ne m’est si gref...

Cet honneur, cette loi sont noms pleins d’imposture...

Qu’il me soit arraché des tétins de sa mère...

À son laquais : J’ai l’esprit tout ennuyé...

À Cupidon : Le jour pousse la nuit...

Avant le temps tes tempes fleuriront...

Ni la douce pitié, ni le pleur lamentable...

Écoute mon Aurat, la terre n’est pas digne...

Si j’étais seulement en votre bonne grâce...

 


Ô doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit encor la faim de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô ris sucrés, ô baisers savoureux ;
 
Ô cheveux d’or, ô côteaux plantureux
[...]

[lire le poème...]


 
Je m’enfuis du combat, ma bataille est défaite :
J’ai perdu contre Amour la force et la raison :
Jà dix lustres passés, et jà mon poil grison
M’appellent au logis, et sonnent la retraite.
 
[...]

[lire le poème...]


 
Je voyais, me couchant, s’éteindre une chandelle,
Et je disais au lit bassement à-par-moi,
Plût à Dieu que le soin, que la peine et l’émoi,
Qu’Amour m’engrave au cœur, s’éteignissent comme elle.
[...]

[lire le poème...]


 
Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde
Semble au Ciel, qui peut tout en ses bras enfermer,
Le feu, l’air et la terre, et l’humeur de la mer,
Et sans être compris comprend tout en ce monde.
[...]

[lire le poème...]

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