(1867-1920)
1921 : Les Contrerimes (posthume)
Liste alphabétique
Liste analphabétique
Dans ce charnier d’amants...
Vénus hait le soleil...
Sur un tableau de Vinci.
Fô a dit...
Les Quarante...
Voici que j’ai touché...
Quoi, nul amour encor...
Vous me reprochez, entre tant...
Midi résonne à chaque horloge...
Il m’en souvient...
C’est Dimanche aujourd’hui...
Toute allégresse a son défaut...
Qui dira, dans l’ombre du bois...
Que je t’aime au temps chaud...
Salut, Côte-Rotie, et toi, rouget trilibre...
Ô femmes, dites-moi...
Il n’est plus, ce jour bleu...
Presque une enfant encor...
Ne cherche pas l’amour...
Ces moires dont Zéphire incline la prairie...
La guirlande n’est plus...
On dirait une main...
L’un vainqueur ou l’autre battu...
Mahé des Seychelles, le soir...
Dandysme
Sous le ciel noir, j’entends...
In memoriam Henry de Bruchard.
La demoiselle, de vieillesse...
Sous ta paupière bleue, Albe...
Amie aux regards changeants...
En Arles.
Réveil.
Nane, as-tu gardé souvenir...
Tu as beau me parler de vieillesse...
Mon âme paisible était pareille autrefois...
Augagneur va parler...
À Londres je connus Bella...
Nous fumâmes toute la nuit...
Toi dont pendent les fleurs...
Quel pas sur le pavé boueux...
In memoriam Jean-Marc Bernard
Cette fraîcheur du soir...
Vous qui retournez du Cathai...
Ainsi, ce chemin de nuage...
Éléphant de Paris.
C’était, dans les vapeurs du nard...
Pour un cuino, se mettre à trois...
As-tu peur de la nuit qui tombe ?...
Comme les dieux gavant leur panse...
Boy, une pipe encor...
Aimez-vous le passé...
La première fois.
Longtemps si j’ai demeuré seul...
Tout ainsi que ces pommes...
Dessous la courtine mouillée...
Ô poète, à quoi bon chercher...
À l’Alcazar neuf, où don Jayme...
Industrieux fils de Dédale...
La mer étincelait...
Alger, ville d’amour...
Je songe aux plats sucrés...
La Cigale.
À l’écart de tes sombres yeux...
Ce n’est pas drôle de mourir...
Tant de travail, docteur...
Rêves d’enfant.
L’Alchimiste.
L’Ingénue.
Un Jurançon 93...
Quelquefois, après des ébats polis...
Tu m’avais dit...
Sur « la Source » d’Ingres :
Ô Diane, ô nuit pure...
Toi qui blessas Vénus...
De toutes les filles sans mœurs...
Si ta grande ombre, ô Moréas...
Dans la casa Tenorio...
D’un noir éclair mêlés, il semble...
Le bouc et la brebis...
Quand l’âge, à me fondre en débris...
À un absent
Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver...
Que ce fut douce, hélas...
Cet huissier, qui jetait, l’été...
En l’an 801 de Rome...
Rendez-vous ce jour-là...
Soir de Montmartre.
Arc vermeil, mais des arcs...
Dans l’océan des nuits...
Tout ce réseau, cette ombre...
Tel qui soûla de sang...
Souffrance
Alcôve noire.
Dans quelle Inde nouvelle...
L’immortelle, et l’œillet de mer...
Écoute les fruits que l’automne détache...
C’était sur un chemin crayeux...
Le microbe : Botulinus...
Embrassez-moi, petite fille...
Comme je lui levais sa jupe...
Vêtue à l’envi d’un beau soir...
Ne crains pas que le Temps...
Faust est triste et seul dans sa chambre...
Rappelez-vous : dans les prés verts...
Dans le silencieux automne...
Madame, qui l’eût dit...
Le sable où nos pas ont crié...
L’amour n’est plus...
Le sonneur se suspend, s’élance...
Enfin, puisque c’est Sa demeure...
Tel variait au jour changeant...
Invisibles regards...
Chevaux de bois.
Telle qu’étincelait sa gorge...
C’était longtemps avant la guerre.
En l’an 1910...
Seigneur, qui remplissez l’espace...
Le soleil se levait...
Nocturne.
Mopse prétend pécher...
J’ai vu ton père et ton époux...
Il pleuvait. Les tristes étoiles...
Heureux qui meurt chargé d’années...
Géronte d’une autre Isabelle...
Des bords du canal noir...
Oui, Marsan, vous avez raison...
Pour un air sifflé dans la rue...
Le Tremble est blanc.
Mère d’un seul amour...
Toi qui laisses pendre, reptile superbe...
Le Mardi gras, ni toi, ni moi...
Spongieux, panaché de bambous...
Hélas, rien ne varie...
La vie est plus vaine une image...
Bénarès, dont le nom...
Sur la Halte de chasse de Van Loo.
Le tournebroche à poids...
Sur un exemplaire de Comme une Fantaisie
Un soldat d’or faisait des pas...
Le coucou chante au bois qui dort....
Quand les os sont pareils...
Église de Saint-Augustin...
Toi qu’arment les pavots...
Filles de la fumée...
Ces roses pour moi destinées...
Jardin qu’un dieu sans doute...
Sur le canal Saint-Martin glisse...
Épitaphe.
Vous tous encor que ravit de rêver...
S’il vous plaît de venir vers nous et les mornes campagnes...
Toi dont un tendre cœur...
Deux vrais amis vivaient...
Ciel ! Isadora Duncan...
Vieillesse, lendemain d’amour...
Sur une statue de Michel-Ange.
Carthame chatoyant, cinabre...
J’ai vu le Diable, l’autre nuit...
Des pommes que l’automne a peintes...
Paradis d’ombre fraîche...
Ô Madone à la lourde traîne...
Nuit d’amour qui semblais fuir...
Scarabée amoureux...
De tout ce gala de province...
Les trois dames d’Albi.
J’ai connu dans Séville...
Dessous le flamboyant...
Va, laisse notre amour en paix...
Les plaisirs de mes jeunes ans...
Mopse, pour tous émoluments...
Princes de la Chine.
Le temps d’Adonis.
Brouillard de l’opium...
Nous bûmes tout le jour...
Saigon : entre un ciel d’escarboucle...
Hachichinn
J’adore les magasins...
Les poètes, gens précieux...
L’ombre, ni le mystère...
En souvenir des grandes Indes...
Le parc ruisselle encore...
Sur un portrait de Madame Récamier.
Dans la rue-des-Deux-Décadis...
Agnès, pleurer ? Dit Charle...
Au détour de la rue étroite...
Sur Boucher :
Sous le soir jaune et vert...
Le Garno.
On descendrait, si vous l’osiez...
Trottoir de l’Élysé’-Palace...
Sur un exemplaire du Grand Dieu Pan
Gloire aux victorieux...
Le Dégel
Puisque tes jours ne t’ont laissé...
Me rendras-tu, rivage basque...
(Traduit de Voltaire.)
Si vivre est un devoir...
Dernier amour
Qu’importe si l’automne...
Pour une dame imaginaire...
De faire amant ensemble...
Quoi, c’est vrai, tu m’aimas...
Quand l’enfant prodigue revint...
Chandelier toujours sans chandelle...
Ce n’était qu’un enfant un peu voluptueux...
Eh quoi, le monde tourne...
Amarissimes.
Avril, dont l’odeur nous augure...
Mon chien s’appelait Tom...
Dolhia, au poète Fô.
Tout autour de la lampe...
Le roi boit. (d’après Omar Queyam).
Molle rive dont le dessin...
Tandis qu’à l’argile au flanc vert...
Ô jour qui meurs à songer d’elle...
Dans le lit vaste et dévasté...
Étranger, je sens bon...
Ce pavé que l’Europe foule...
Le rameau d’or
Eh, jeûnes à ta faim d’aimer...
Ciel équivoque, heures de brune...
Douce plage où naquit mon âme...
J’ai trouvé mon Béarn le même...
Vous souvient-il de l’auberge...
Heure céruléenne...
Toi qui fais rêver, ô brune...
Contemple un autre monde...
Comme à ce roi laconien...
Quatre ou cinq, nous avions résolu...
J’avais laissé mon argent...
Bayonne ! Un pas sous les Arceaux...
Boulogne.
Cette averse, Badoure...
La dure alcôve...
Ce fut par un soir de l’automne...
C’est la R. H. Ellen...
Qu’Allard, sur la caricature...
Nous jetâmes l’ancre, Madame...
Pâle matin de Février...
Tandis que l’orchestre écoule...
In memoriam J. G. M.
J’ai beau trouver bien sympathique...
Iris, à son brillant mouchoir...
Ah ! laissez-vous fléchir un instant...
Ô nuit parmi les nuits...
Le lys.
Je connais un secret bocage...
Je me rappelle un jour...
Sur l’océan couleur de fer...
Admire des glaïeuls...
Ce qu’il fait, Z. a cru...
Lorsque Timour partit...
Tant pis si Boulenger m’attrape...
Toi, pour qui les dieux du mystère...
Elle est noire, c’est vrai...
Plus oultre.
Non, ce taxi, quelle charrette....
Stendhal, si revenait...
Quoi, nul amour encor ne t’enseigna ses veilles, Paradis que n’ont pas animé les abeilles ?
[lire le poème...]
En l’an 1910 de phrases — et du Christ, Nous nous sommes, ma chère enfant, beaucoup écrit.
Dans l’océan des nuits où l’œil plonge et s’enchante Diane vient laver la poudre des combats. Et vous, plus nue encore, ô belle, parlez bas : Il n’est voix de la nuit qu’au rossignol qui chante.
Toi qui blessas Vénus, ah, si Vénus te blesse, Diomède, bénis sa force, et sa faiblesse.
J’avais rêvé qu’une très loin En exil était morte. À sa fosse on cloue une porte : Un paysan du coin Craintif de la laisser trop seule ; Il lui fait de surcroît De deux bouts de planche une croix, Qu’une ombre l’enlinceule, Puis l’abandonne au froid des cieux... Mais j’y viens et ciselle : “Que ton premier amour plus belle, La Manquante en ces lieux”.
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(Tоuriste)
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