Théophile de Viau

(1590-1626)

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Poèmes par ordre alphabétique

 

Ah ! Philis, que le Ciel me fait mauvais visage !...

À Monsieur de L. sur la mort de son père

Apollon Champion

Approche, approche, ma driade !...

Au moins ai-je songé que je vous ai baisée...

Aussi souvent qu’Amour fait penser à mon âme...

 

Chanson en dialogue

Cloris, lorsque je songe, en te voyant si belle...

Cloris, pour ce petit moment...

Courtisans, qui passez vos jours dans les délices...

 

Désespoirs amoureux.

Dialogue

D’un sommeil plus tranquille à mes Amours rêvant...

 

Élégie : Cloris, lorsque je songe, en te voyant si belle...

Élégie : J’ai fait ce que j’ai pu pour m’arracher de l’âme...

Élégie : Proche de la saison où les plus vives fleurs...

Épigramme : Grâce à ce Comte libéral...

Épigramme d’un impuissant

Esprits qui connaissez le cours de la nature...

 

Grâce à ce Comte libéral...

 

Je ne vis onc femme si froide...

Je songeais que Phyllis des enfers revenue...

J’ai fait ce que j’ai pu pour m’arracher de l’âme...

J’ai trop d’honneur d’être amoureux...

 

La frayeur de la mort ébranle le plus ferme...

Le plus aimable jour qu’ait jamais eu le monde...

Les Parques ont le teint plus gai que mon visage...

L’autre jour inspiré d’une divine flamme...

 

La Maison de Sylvie

Le Matin

Me dois-je taire encore, Amour, quelle apparence ?...

Mesdames qui avez inventé cet usage...

Mon frère je me porte bien...

 

Les Nautoniers

 

Ode : Cloris, pour ce petit moment...

 

Pour une amante irritée

Proche de la saison où les plus vives fleurs...

 

Quand tu me vois baiser tes bras...

Quelque si doux espoir où ma raison s’appuie...

Que mes jours ont un mauvais sort...

 

Remontrance à M. de Vertamon

 

Si j’étais dans un bois poursuivi d’un lion...

La Solitude

Sonnet sur son exil dans les landes de Castel-Jaloux

Stances : Quand tu me vois baiser tes bras...

Sur une tempête qui s’éleva comme il était prêt de s’embarquer pour aller en Angleterre

S’il est vrai, Cloris, que tu m’aimes...

 

Ton orgueil peut durer au plus deux ou trois ans...

Tout y chevauche, tout y fout...

 

Un corbeau devant moi croasse...

 

Vos rigueurs me pressaient d’une douleur si forte...

 


 
Au moins ai-je songé que je vous ai baisée,
Et bien que tout l’amour ne s’en soit pas allé,
Ce feu qui dans mes sens a doucement coulé,
Rend en quelque façon ma flamme rapaisée.
 
[...]

[lire le poème...]

Le Matin


 
L’Aurore sur le front du jour
Sème l’azur, l’or et l’ivoire,
Et le Soleil, lassé de boire,
Commence son oblique tour.
 
Ses chevaux, au sortir de l’onde,
De flamme et de clarté couverts,
La bouche et les naseaux ouverts,
Ronflent la lumière du monde.
 
Ardents ils vont à nos ruisseaux
Et dessous le sel et l’écume
Boivent l’humidité qui fume
[...]

[lire le poème...]

La Maison de Sylvie


 
 

Ode I


 
Pour laisser avant que mourir
Les traits vivants d’une peinture
Qui ne puisse jamais périr
Qu’en la perte de la nature,
Je passe de crayons dorés
Sur les lieux les plus révérés
Où la vertu se réfugie,
Et dont le port me fut ouvert
Pour mettre ma tête à couvert
Quand on brûla mon effigie.
[...]

[lire le poème...]


Vos rigueurs me pressaient d’une douleur si forte
Que si votre présent, reçu si chèrement,
Encore un jour ou deux eût tardé seulement,
Vous n’eussiez obligé qu’une personne morte.
 
Jamais esprit ne fut travaillé de la sorte,
[...]

[lire le poème...]

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