Vincent Voiture

(1598-1648)

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Poèmes en vrac

L’un meurt, qu’à sa fantaisie...

Épitaphe : Ci gît un petit garçonnet...

Belise, je sais bien que le Ciel favorable...

Placet à une Dame

En bon Français politique et dévot...

Un buveur d’eau, pour aux dames complaire...

Je pensais...

Sous un habit de fleurs, la Nymphe que j’adore...

Pour vos beaux yeux auteurs de mon trépas...

Dedans ces prés herbus et spacieux...

Ma foi, c’est fait...

J’avais de l’Amour pour vous...

Quand Iris aux beaux yeux...

Regrets sur la mort du Rondeau

Notre Aurore vermeille...

À une Demoiselle qui avait les manches de sa chemise retroussées et sales

À la louange d’un soulier d’une dame

Sonnet d’Uranie

Ma foi, que d’un fin diamant...

Sur sa maîtresse, rencontrée, en habit de garçon, un soir de carnaval

Tout beau corps, toute belle image...

Mon âme, adieu, quoi que le cœur m’en fende...

Ballade : Toi qu’une étoile favorable...

Pour vos beaux yeux et votre beau visage...

La terre brillante de fleurs...

Belles fleurs, dont je vois ces jardins embellis...

Ou vous savez...

Lorsqu’avecque deux mots que vous daignâtes dire...

L’autre jour, au palais des cieux...

Ce soir que vous ayant seulette rencontrée...

Vous de qui l’œil est mon vainqueur...

D’un buveur d’eau, comme avez débattu...

Si haut je veux louer Sylvie...

Six rois prièrent l’autre jour...

Vous l’entendez mieux que je ne pensais !...

Chanson : L’un meurt, qu’à sa fantaisie...

Stances écrites sur des tablettes

Chez la Coiffier une demi-douzaine...

La plus adorable personne...

Dans la prison qui vous va renfermant...

Stances : Je pensais...

Rondeau : En bon Français politique et dévot...

Sur une Dame, dont la jupe fut retroussée

Belle déesse que j’adore...

L’Amour sous sa loi...

Toi qu’une étoile favorable...

Je me meurs tous les jours en adorant Sylvie...

La Belle Matineuse

Trois jours entiers...

Pour la tortue

Stances écrites de la main gauche

Au Cardinal Mazarin, sur la Comédie des machines

Rondeau : Trois jours entiers...

Le Soleil ne voit ici-bas...

Les demoiselles de ce temps...

Pour vous servir...

Ci gît un petit garçonnet...

 


Chez la Coiffier une demi-douzaine
Des nourrissons de l’enfant de Silène
Se trouveront ce soir assurément.
N’y manquez pas, diable emporte qui ment,
L’affaire est faite, et la chose certaine.
Vous y verrez une table bien pleine :
[...]

[lire le poème...]



        Belle déesse que j’adore,
        Ne pleurez pas si longuement ;
Si les perles se font des larmes de l’aurore,
Vous perdrez un trésor bien inutilement.
 
Ces larmes me rendraient trop heureux et trop riche,
[...]

[lire le poème...]


Dans la prison qui vous va renfermant,
Votre grande âme agit incessamment,
Et ce divin esprit que rien n’enserre
Vole partout, sans erreur toujours erre,
S’étend, s’élève, et va plus aisément.
 
[...]

[lire le poème...]


Pour vos beaux yeux auteurs de mon trépas,
Hier dans le Ciel se firent maints combats,
L’Amour ayant dit tout haut à sa mère,
Qu’ils surpassaient en douceur et lumière
Ceux de là-haut, comme ceux d’ici-bas.
[...]

[lire le poème...]

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