Parny(1753-1814) Recueil complet1787 : Chansons madécasses Tous ses poèmes disponiblesPoèmes par ordre alphabétique
L’Absence Aimer est un destin charmant... À un ami trahi par sa maîtresse
Bel arbre, pourquoi conserver... Billet : Dès que la nuit sur nos demeures...
Calme des sens, paisible indifférence... Chanson III : Quel imprudent ose appeler aux combats Ampanani ?... Chanson IV : Mon fils a péri dans le combat... Chanson IX : Une mère traînait sur le rivage sa fille unique... Chanson première : Quel est le roi de cette terre ?... Chanson V : Méfiez-vous des blancs... Chanson VI : Jeune prisonnière, quel est ton nom ?... Chanson VII : Zanhar et Niang ont fait le monde... Chanson VIII : Il est doux de se coucher... Chanson X : Où es-tu, belle Yaouna ?... Chanson XI : Redoutable Niang... Chanson XII : Nahandove, ô belle Nahandove...
Dès que la nuit sur nos demeures... La Discrétion D’un air languissant et rêveur... D’un long sommeil, j’ai goûté la douceur...
Élégie : Aimer est un destin charmant... Élégie : Calme des sens, paisible indifférence... Élégie : Que le bonheur arrive lentement...
La Frayeur
Les Imprécations
Jeune prisonnière, quel est ton nom ?... J’ai cherché dans l’absence un remède à mes maux...
Le Lendemain : D’un air languissant et rêveur... Le Lendemain : Enfin, ma chère Éléonore...
Mon fils a péri dans le combat...
Nahandove, ô belle Nahandove...
Que le bonheur arrive lentement... Quel est le roi de cette terre ?... Quel imprudent ose appeler aux combats Ampanani ?...
Le Revenant
Le Songe
Une mère traînait sur le rivage sa fille unique...
Zanhar et Niang ont fait le monde... ![]() |
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Où es-tu, belle Yaouna ? le roi s’éveille, sa main amoureuse s’étend pour caresser tes charmes : où es-tu, coupable Yaouna ? Dans les bras d’un nouvel amant, tu goûtes des plaisirs tranquilles, des plaisirs délicieux. Ah ! presse-toi de les goûter ; ce sont les derniers de ta vie.
La colère du roi est terrible. « Gardes, volez, trouvez Yaouna et l’insolent qui reçoit ses caresses. » [...]
L’île de Madagascar est divisée en une infinité de petits territoires qui appartiennent à autant de princes. Ces princes sont toujours armés les uns contre les autres, et le but de toutes ces guerres est de faire des prisonniers pour les vendre aux Européens. Ainsi, sans nous, ce peuple serait tranquille et heureux. Il joint l’adresse à l’intelligence. Il est bon et hospitalier. Ceux qui habitent les côtes se méfient avec raison des étrangers, et prennent dans leurs traités toutes les précautions que dicte la prudence, et même la finesse. Les Madécasses sont naturellement gais, les hommes vivent dans l’oisiveté, et les femmes travaillent. Ils aiment avec passion la musique et la danse. J’ai recueilli et traduit quelques chansons qui peuvent donner une idée de leurs usages et de leurs mœurs. Ils n’ont point de vers ; leur poésie n’est qu’une prose soignée : leur musique est simple, douce, [...]
Belle Nélahé, conduis cet étranger dans la case voisine. Étends une natte sur la terre, et qu’un lit de feuilles s’élève sur cette natte ; laisse tomber ensuite la pagne qui entoure tes jeunes attraits. Si tu vois dans ses yeux un amoureux désir ; si sa main cherche la tienne, et t’attire doucement vers lui ; s’il te dit : Viens, belle Nélahé, passons la nuit ensemble ; alors assieds-toi sur ses genoux. Que sa nuit soit heureuse, que la tienne soit charmante ; et ne reviens qu’au moment où le jour renaissant te permettra de lire dans ses yeux tout le plaisir qu’il aura goûté. |
Mon florilège(Tоuriste) (Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.) Compte lecteurAgoraÉvаluations récеntes☆ ☆ ☆ ☆ ☆Τhаlу : L’Îlе lоintаinе Τristаn L’Hеrmitе : Épitаphе d’un pеtit сhiеn Lаmаrtinе : Lеs Étоilеs Μаllаrmé : «Ρаrсе quе dе lа viаndе...» Соrbièrе : À lа mémоirе dе Zulmа Νаvаrrе : «Μоn sеul Sаuvеur, quе vоus pоurrаis-је dirе...» Vоltаirе : «Si vоus vоulеz quе ј’аimе еnсоrе...» Τоulеt : Sоuffrаnсе Glаtignу : Βаllаdе dеs Εnfаnts sаns sоuсi ☆ ☆ ☆ ☆Glаtignу : Ρаrtiе dе саmpаgnе Μаllаrmé : «Ρаrсе quе dе lа viаndе...» Hеrvillу : À lа Lоusiаnе Vеrlаinе : Βаllаdе еn l’hоnnеur dе Lоuisе Μiсhеl Jаmmеs : Jе pаrlе dе Diеu Vеrlаinе : L’Αubеrgе Соppéе : «Lе Grаnd-Μоntrоugе еst lоin, еt lе dur сhаrrеtiеr...» Rimbаud : «L’еnfаnt qui rаmаssа lеs bаllеs...» Ρrivаt d’Αnglеmоnt : «Соmbiеn durеrоnt nоs аmоurs ?...» Cоmmеntaires récеntsDe Сосhоnfuсius sur «Sur mеs vingt аns, pur d’оffеnsе еt dе viсе...» (Rоnsаrd) De Jаdis sur Τаblеаu rurаl (Соppéе) De Сосhоnfuсius sur «J’аimе lе vеrt lаuriеr, dоnt l’hivеr ni lа glасе...» (Jоdеllе) De Gеоrgеs sur À lа mémоirе dе Zulmа (Соrbièrе) De Сосhоnfuсius sur «Lе viеil prоvеrbе dit quе du mоinе еt du prêtrе...» (Sаblе) De Guillеmеttе. sur «Lе bеаu Ρrintеmps n’а pоint tаnt dе fеuillаgеs vеrts...» (Lа Сеppèdе) De Guillаumе sur Αbаndоnnéе (Lоrrаin) De Lа Μusérаntе sur Hоmmаgе : «Lе silеnсе déјà funèbrе d’unе mоirе...» (Μаllаrmé) De Сurаrе- sur Αdiеuх à lа pоésiе (Gаutiеr) De Сurаrе- sur «J’еntrеvоуаis sоus un vêtеmеnt nоir...» (Μаgnу) De Сurаrе- sur «Се соrps défiguré, bâti d’оs еt dе nеrfs...» (Sigоgnе) De Jаdis sur «Viсtоriеusеmеnt fui lе suiсidе bеаu...» (Μаllаrmé) De Gеоrgеs Lеmаîtrе sur «Lе sоir, аu соin du fеu, ј’аi pеnsé biеn dеs fоis...» (Соppéе) De Jаdis sur Lе Vœu suprêmе (Lесоntе dе Lislе) De Сhristiаn sur «J’еntrаis сhеz lе mаrсhаnd dе mеublеs, еt là, tristе...» (Νоuvеаu) De Ρépé Hаsh sur «Сеpеndаnt qu’аu pаlаis dе prосès tu dеvisеs...» (Du Βеllау) De Сurаrе_ sur Sоnnеt : «Quаnd је rеpоsеrаi dаns lа fоssе, trаnquillе...» (Gоudеаu) De Vinсеnt sur Τоmbеаu du Ρоètе (Dеubеl) De Xi’аn sur «Μоn âmе pаisiblе étаit pаrеillе аutrеfоis...» (Τоulеt) De Сhristiаn sur Соntrе Ligurinus : «Τоut lе mоndе tе fuit...» (Dubоs) De Vinсеnt sur «Un sоir, lе lоng dе l’еаu, еllе mаrсhаit pеnsivе...» (Durаnt dе lа Βеrgеriе) Plus de commentaires...Ce sitePrésеntаtionCоntactSоutien |