Constant Dubos

(1768-1845)

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Poèmes en vrac

Contre Philomuse : Homme sage et de prévoyance...

Contre Lalagée : Sur trente boucles de cheveux...

Contre Laelius : Tu critiques mes vers...

Sur une vipère cachée dans la gueule d’une lionne

À son lecteur : Le voilà cet auteur qui sait pincer et rire...

Contre Sextus : Si, pour environ cent écus...

Sur Lycoris : La borgne Lycoris...

Sur Aquin : Près de son cher Fabrice, Aquin gît aujourd’hui...

D’un ouvrage que tu composes...

Zoïle, en m’invitant, tu crois combler mes vœux...

Mon petit livre, adieu ! pars en leste équipage !...

À Rufus : D’où te vient cet air sombre...

Contre Ligurinus : Tout le monde te fuit...

La borgne Lycoris...

Je puis te respecter ou t’aimer...

À son livre : Tu vas te rendre à Rome...

Veux-tu, Fuscus, m’accorder une grâce ?...

À Sextus : Je puis te respecter ou t’aimer...

Contre un envieux : Tu fronces le sourcil aux vers...

Contre Scaevole : Oh ! si des Dieux un jour la faveur indulgente...

Toi qui, capitaine, orateur...

À la porte Capène...

À Rufus : Un traiteur, des bains, un barbier...

À Quinctianus : Sous ton illustre patronage...

Contre un plagiaire

Tu m’as volé mes vers, et tu te crois poète...

Contre Cinna : Cinna, dit-on, en vers sur moi...

À Flaccus sur la sportule : Avec tes cent quadrans...

Sur trente boucles de cheveux...

Tu fronces le sourcil aux vers...

À Céler : D’un ouvrage que tu composes...

Ô toi le tendre objet de ma sollicitude...

Te rencontrè-je à mon passage...

C’est donc uniquement pour me lire tes vers...

Près de son cher Fabrice, Aquin gît aujourd’hui...

Candide, laisse là ton refrain importun...

Cinna, dit-on, en vers sur moi...

Je t’invite à dîner ; à peine as-tu pris place...

Hier, à ton dîner, tout était parfumé...

Faustinus, ce bosquet, ce modeste jardin...

Sur la petite chienne de Publius

Sur un lion

À son livre : Pars, mon cher livre, et sans retard...

À son livre : À Rome, où je ne puis protéger ta faiblesse...

D’un gâteau trop brûlant...

Contre un faux riche : Vois-tu ce jeune fat...

Contre Maximina : Le rire vous sied bien...

Quand ta femme de près n’était pas observée...

Que peut te rapporter ton champêtre manoir ?...

Je t’appelais jadis mon maître...

Le voilà cet auteur qui sait pincer et rire...

Avant de me quitter pour te rendre à la ville...

Contre Fabulle : Hier, à ton dîner, tout était parfumé...

Vois-tu ce jeune fat...

Ta maison, cher Gallus, est vaste et magnifique...

Quelle maîtresse je voudrais ?...

Pourquoi donc tes baisers sont-ils parfumés d’ambre ?...

Sur Laevina : La chaste Laevina...

Je ne sais si Phébus...

Alcime, enfant chéri, qu’à mes embrassements...

À soixante dîneurs...

Cent épigrammes sans dormir !...

Contre Naevolus : Comme au printemps, l’Hybla...

À Flaccus : Quelle maîtresse je voudrais ?...

Contre Linus : Que peut te rapporter ton champêtre manoir ?...

Contre Lupercus : Te rencontrè-je à mon passage...

Le rire vous sied bien...

Contre Posthume : Pourquoi donc tes baisers sont-ils parfumés d’ambre ?...

À Rome, où je ne puis protéger ta faiblesse...

Contre Cécilianus : Je t’invite à dîner ; à peine as-tu pris place...

Tu critiques mes vers...

Je prétends être libre...

Fidentinus, dans mon ouvrage...

Homme sage et de prévoyance...

Côme épouse Thaïs la borgne...

Avec tes cent quadrans...

Contre Naevia : Ce lièvre, ce turbot...

À Quintilien : Ô Vous, dont les leçons...

À Gallus : Ta maison, cher Gallus, est vaste et magnifique...

À son livre : Mon petit livre, adieu ! pars en leste équipage !...

À Caecilianus : Cent épigrammes sans dormir !...

Ô Vous, dont les leçons...

Tu vas te rendre à Rome...

Où se vendent ses livres

Mon style, selon toi...

Oh ! si des Dieux un jour la faveur indulgente...

À Flaccus : Ô toi le tendre objet de ma sollicitude...

Lorsqu’à peine tes revenus...

La chaste Laevina...

Sous ton illustre patronage...

À Vélox : Mon style, selon toi...

Malgré le luxe dont tu brilles...

À Olus : Je t’appelais jadis mon maître...

Pars, mon cher livre, et sans retard...

À Fidentinus : Tu m’as volé mes vers, et tu te crois poète...

Contre Ligurinus : C’est donc uniquement pour me lire tes vers...

Comme au printemps, l’Hybla...

Contre Ligurinus : Je ne sais si Phébus...

Sur Alcimus : Alcime, enfant chéri, qu’à mes embrassements...

Ponticus, j’ai besoin de votre patronage...

Un traiteur, des bains, un barbier...

Contre Mancinus : À soixante dîneurs...

Tout le monde te fuit...

Contre Cosmus : Côme épouse Thaïs la borgne...

Contre l’avare Calenus : Lorsqu’à peine tes revenus...

Contre Sabidius : D’un gâteau trop brûlant...

À Maximus : Je prétends être libre...

D’où te vient cet air sombre...

Sur une salle à manger appelée Diamant

À Fidentinus : Fidentinus, dans mon ouvrage...

Sur Bassus : À la porte Capène...

Si, pour environ cent écus...

Ce lièvre, ce turbot...

À Fuscus : Veux-tu, Fuscus, m’accorder une grâce ?...

Contre Zoïle : Malgré le luxe dont tu brilles...

À Fronton : Toi qui, capitaine, orateur...

À Caecilianus : Quand ta femme de près n’était pas observée...

 
Contre Philomuse



          Homme sage et de prévoyance,
Ton père, connaissant ta prodigalité,
    T’entretenait dans une honnête aisance,
    Mais sans outrer la libéralité ;
          Et voyant peu de sûreté
[...]

[lire le poème...]

Sur Aquin



Près de son cher Fabrice, Aquin gît aujourd’hui,
Qui partant le premier, voulut de l’Élysée
Lui ménager l’accès par une pente aisée.
Trop heureux, maintenant il dort auprès de lui ;
[...]

[lire le poème...]

Contre Naevia



Ce lièvre, ce turbot et ce poulet juteux,
Naevia, ne sont-ils ici que pour la forme ?
          Quel scrupule religieux
T’empêche d’entamer ce sanglier énorme ?
Rien n’est cuit, me dis-tu, tout est mal apprêté ;
[...]

[lire le poème...]

À son livre



Mon petit livre, adieu ! pars en leste équipage !
Je pourrais bien doubler ou tripler ton bagage,
Mais à ton seul aspect on pourrait s’effrayer.
          En t’abrégeant, d’ailleurs, j’économise
[...]

[lire le poème...]

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Photo d'après : Hans Stieglitz